Gaby, qui se reposait à l'ombre d'un énorme cactus, n'avait évidemment rien manqué de la scène. Elle se leva, s'étira paresseusement, et s'approcha. La yearling ne put s'empêcher de ricaner en voyant la délicate petite jument pleurnicher à cause d'une simple épine. -Décidément... Vous êtes vraiment... sensible vous, alors ! Même un poulain n'aurait pas pleuré pour juste ça. Fit-elle avec nonchalance.