Les sabots à l’extrême bord de la falaise, Pandore laisse ses yeux se perdre loin, très loin, jusqu’à l'horizon, rêvant de son au-delà. Le vent de l'est fait voler ses crins, frappe son corps, comme pour la purifier. Ce vent de l'est, qui emporte de son souffle puissant le Mal, ce vent de non-retour.