** Others drugs

H O O K E R

Le mâle avançait lentement dans les souterrains, appréciant à la fois la fraicheur que dégageait la terre, mais aussi la chaleur lourde et oppressante qui émanait des parois étroites. Il s'était aventuré plus loin qu'il ne l'avait jamais autrefois été. Les murs ne représentaient plus de stupides dessins mais étaient incrustés de pierres scintillantes et éclatantes.

Le colosse d'or, quant à elle, profitait de cet endroit depuis un long moment déjà, fuyant la surface, la chaleur et cette période torride qui dérangeait ses entrailles depuis de nombreux jours déjà. Ne croiser personne, et surtout pas un mâle, est la meilleure solution pour qu'elle ne cède pas à ses pulsions. Car aujourd'hui, Maddison a décidé de cesser de se battre contre elle même ... d'une certaine manière.

Ses yeux flamboyants courent le long des parois mi terreuse, mi rocheuse. Ils s'attardent parfois sur des joyaux plus scintillants que d'autres. Rien de bien exaltant en soit. Il soupire bruyamment, l'ennuie le gagnant, et ce n'était jamais vraiment un bon point chez lui. Et à la fois doucement et brutalement, une odeur s'immisce dans ses naseaux et fait tressaillir tout son corps. Ses muscles s'étaient enfin éclatés, ses jambes avaient grandies et forcis, il était sorti de l'adolescence. Guidé par un instinct dont il ignorait encore tout, il se laissa porté jusqu'à une silhouette qu'il ne distinguait pas très bien, le peu de luminosité du souterrain empêchant qu'il puisse parfaitement assimiler ses traits. Mais les lueurs éclatantes des pierres précieuses dansaient sur sa robe nacrée.

Et l'odeur vint. Puissante, enivrante. Une odeur que ses naseaux ont longuement cherché à trouver, malgré sa volonté de rester une nouvelle fois, hors de tout cela. Mais visiblement, le propriétaire de ce pas rapide qui se rapproche en a décidé autrement. Maddison frisonne. Elle ronfle des naseaux. Et tout ce qu'elle peux distinguer du nouveau venu, ce sont ses yeux. Ainsi qu'une partie de sa robe. Inhabituelle. Étrange. Attirante. Mais elle ne bouge pas, préférant lover son regard d'azur dans ces yeux de feu.

Les bruits qui émanent d'elle pourrait être un avertissement, une mise en garde, mais cela ne fait qu'éveiller d'avantage ses sens déjà bien à l'affût. Il se contient, il se maintient pour ne pas lui sauter dessus, mais au fond, il en meurt d'envie. Des pulsions nouvelles, aussi insolentes qu'effrayantes, l'accablent, et c'est non sans plaisir qu'il se laisse volontiers assaillir. Il laisse son instinct prendre le pas sur son esprit. Ses muscles se tendent, son encolure se voute faisant tomber en cascade ses crins noirs et blancs. Il renâcle et gratte le sol d'impatience avant d'enfin se décider à avancer vers elle. Il approche son visage du sien, prêt et désireux de recevoir la douce brulure qu'elle allait surement lui infliger.

Nouveau frisson. Bien vite suivit par un second, puis un troisième. Elle le laisse approcher, silencieuse. Ou presque. Car c'est un ronflement de naseaux qui accueille le jeune mâle, tendis qu'il tend ses naseaux vers les siens. La Louve gratte le sol, dans une sorte de transe étrange, ou mythe et réalité ne font plus qu'un. Un instant, elle ferme les yeux. Son ouragan à laissé place à quelque chose de plus sombre, de bien plus attrayant, qui grandit au creux de ses reins depuis quelques jours. Cette chose, ce désir, enfoui, rétrogradé depuis si longtemps explose au moment même ou la peau de l'inconnu entre en contact avec la sienne. Maddison ouvre la bouge, pour venir déposer sa mâchoire supérieur sur la ganache de l'étalon. Elle ne réfléchit plus et la bête prend possession d'elle. Et elle l'accueille à bras ouvert. Puis, d'un mouvement rapide de tête, le colosse laisse ses dents riper, égratigner, blesser la joue de son compagnon de folie. Tu voulais danser ? Et bien dansons maintenant.

Même si son mouvement est rapide, il sent ses dents accrocher la peau fine et délicate de sa joue. Il a l'impression que ce contact, que cet impact, dur des heures. Il ne se braque pas, ne bronche même pas, il se retient de justesse de laisser un rire euphorique quitter les méandres de sa gorge. Si le sang se mêle à la passion, cela ne ferait qu'accentuer sa transe.
D'un brusque mouvement en avant il colle son poitrail au sien. Elle est grande, elle est imposante. Cela ne l'effraie pas, au contraire, cela l'attire d'avantage car il sait qu'elle sera capable d'encaisser ses assauts sans risquer de la briser, quels qu'ils soient. Ses naseaux partent caresser sa peau sous sa crinière dorée, s'imprégnant de son odeur, et laissant au passage son sang souiller sa robe si pure.

Les frissons ne cessent pas. Pire encore, il s’amplifient, plongeant petit à petit Maddison dans un état second. Elle perd contact avec la réalité. Cette réalité qui la ferait réagir autrement si elle savait. Le contact de leur peau l'électrise. Ce poitrail contre les sien, ces naseaux courant lentement sur la ligne de son dos. La réaction physique ne se fait pas attendre et sa queue se redresse de quelques centimètres sur le côté, laissant échapper un peu plus de la douce effluve qui a menée ce mâle à elle. Et tandis qu'il lui caresse le dos et les reins, la Louve laisse ses dents grignoter le garrot, le flanc et les crins de l'appaloosa. Elle s'imprègne de lui, ancre son odeur dans sa mémoire ... et fait un pas en avant, le bousculant d'un coup, sans prévenir. Leurs corps se frôlent et bien vite, la jument d'or se retrouve collée à lui, à lui mordre la cuisse, le grasset. Elle se délecte, son corps s'enflamme. Les crins de sa queue volent vers le visage de l'inconnu, tandis qu'ils continuent leur dangereuse et sensuelle valse.

Plus elle déverse ses effluves partout autour d'eux, plus ses caresses se font plus intenses, plus marquées, plus... Bestiales. Tantôt il l'assaille de baisers brûlants, tantôt il laisse une morsure piquante embrasser et tirailler sa peau. En réponse, il continue de sentir ses dents à elle lui piquer et lui fendre la chair, ce qui n'avait de cesse d’enivrer d'autant plus l'ivresse de son désir. Sa progression vers sa croupe est à la fois rapide et bien trop lente. Il grogne en même temps qu'il souffle de satisfaction. Lorsque les crins blonds de l'inconnue viennent voler près de son visage, il en profite pour s'en emparer et ramener brutalement et plus rapidement l'objet de ses convoitises à lui. Sa croupe se heurte à son poitrail mais enfin, elle est toute à lui. Lentement, il passe ses naseaux le long de l'arrière de sa cuisse.

Et la valse continue. Entre frôlements enjôleurs et morsures brûlantes. Et plus l'inconnu la touche, plus ses naseaux frôlent sa peau, plus la jument s’enivre. Ses entrailles semblent se consumer de désir en elle. Maddison a perdu tout contact avec la réalité, appréciant sincèrement chaque seconde de cet instant. Plus dure en sera la chute. Et lorsque l'appaloosa attire sa croupe à lui d'un mouvement sec, la jument d'or laisse échapper un petit grognement, surprise par la force qu'il semble déployer. Mais cela lui plait. Tellement, qu'elle le laisse agir, bouillonnante, impatiente. Ses caresses ne sont pas de trop, mais elle lui semblent durer une éternité. Mais plus l'instant dure et plus la queue de la Louve s'écarte, laissant libre passage au jeune mâle. Elle l'attend. Elle est prête.

La queue de l'inconnue d'or s'écarte encore, lui laissant libre accès à son intimité. L'odeur qui s'émane d'elle le rend fou. Il est parvenu à se controler cette fois, mais ainsi aux premières loges ( ) c'est bien plus complexe. Hook se laisse un peu déborder par le flot soudain débordant d'hormones qui l'assaillent et sa caresse se transforme soudain en une morsure brulante et impatiente. Il piétine légèrement sur place. L'appaloosa aurait voulu explorer encore un peu plus son corps, explorer d'avantage l'anatomie féminine mais il n'y tenait plus. Il essuie de sa langue le sang qu'il a fait perler le long de la cuisse de la jument et n'attend pas plus pour se retrouver sur elle. Il attrape un poignée de crins entre ses dents et l'assaille de puissants coup de reins, ne se ménageant pas et ne la ménageant pas non plus

Complètement envoûtée, électrisée et coupée de la réalité, Maddison apprécie chacune des caresses, des morsures du jeune mâle. Car il faut bien l'avouer, il semble savoir s'y prendre. Totalement prête, le colosse ne bronche pas lorsqu'il passe à l'acte. Bien au contraire. Elle en écarte même totalement la queue, tout en fermant les yeux. Elle le reçoit, avec plaisir et volupté, l'accompagnant dans ses mouvement, de plus ne plus rapides, de plus en plus ... voluptueux. Chaque coup de reins de la part de l'appaloosa l'amène un peu plus loin dans le contentement, vers l'absolution. Leurs corps humides de transpiration se tendent de plus en plus et Maddison ressent l'explosion arriver, du plus profond de son être, au creux de ses reins. Maintenant, à lui d'assurer

**Messages :** 5064 **Inscription :** 24/04/2015 **Age :** 24 **Pseudo :** drey

quoi?????????????????????????????????????????? si maman apprend ça

( Y a pleins de trucs que Maman va pas être contente d'apprendre )

Hook la sent réceptive à ses assauts répétés, et même... Coopérative. L'appaloosa raffermit encore un peu plus sa prise sur ses crins, pour s'enfoncer encore plus fort, encore plus loin en elle. Aucuns de ces gestes n'est doux et délicat, tout n'est que force, désir et passion. A chaque coup de reins donnés, un grondement sourd de plaisir s'échappe de sa gorge. Il finit par lâcher sa crinière pour s'attaquer à son encolure. Ses lèvres rencontrent sa peau brulante et humide. Il l'embrasse puis la mord avec une certaine frénésie, une certaine folie contrôlée. Il n'est plus très loin d'atteindre le point culminant du plaisir.

Elle coopère. Elle apprécie. Tellement, que par moment, le temps d'une fraction de seconde, de brefs soupirs de plaisir s'échappent de ses lèvres. Elle s'en rend à peine compte et ne cherche même pas à les retenir. Et lorsque l'inconnu commence à lui mordre l'encolure, elle lui répond en lui mordant les antérieurs. Il est tout de même hors de question qu'il soit le seul à profiter de cette situation tout de même !
Et peu à peu, ils se poussent, mutuellement, vers le bord du précipice. Plus le feu qui règne au creux de ses reins et dans le reste de son être prend possession d'elle, plus la chute se rapproche. Tu as voulu danser, maintenant, tu vas pleurer.