materne aile

**Messages :** 19280 **Inscription :** 29/03/2013 **Age :** 24 **Pseudo :** boo

Elle avait senti que ça bougeait. Elle n'avait rien senti auparavant, persuadée qu'avec tous les châtiments subis, l'embryon n'avait pas pu se développer. Elle avait quand même mangé pour deux - et même pour trois pour reprendre de l'état - et cela avait finalement porté ses fruits. L'Arche sacrée, ça lui semblait un beau lieu pour donner la vie. Peut-être que son enfant serait protégé par Mère Nature en naissant ici. Alors doucement, elle se pose au pied de l'arche, s'étend de tout son long, son maigre corps contre le sol, et attend le moment opportun pour éjecter ce qui lui poussait dans le ventre.

(faucon)

L'entier fait ses rondes, comme toujours. Depuis que sa mère a été libérée et, donc, qu'il n'a plus à surveiller Aulia dans la jungle, il peut y passer ses journées. Il a senti l'odeur de sa mère près de l'Arche et s'y est naturellement dirigé. Il a un air plus sombre sur le visage, plus sévère, plus froid encore qu'auparavant. Pourtant, il sourit en la voyant au sol, s'approchant calmement. Alors ça y est, tu vas l'expulser maintenant ? demande-t-il d'un ton amusé, pour ne pas focaliser son esprit sur les contusions et hématomes qui marquent encore le corps de sa mère. Il appuie doucement sur son ventre avec ses naseaux et ronflotte. Tu veux que j'aille chercher Narval, au cas où ?

**Messages :** 19280 **Inscription :** 29/03/2013 **Age :** 24 **Pseudo :** boo

Attention délicate de la part de son fils, mais vaine. Chacun des mouvements qui se produisaient à l'intérieur d'elle même lui rappelaient les dommages extérieurs un à un. Et ça durait, c'était pas immédiat, cette mise à bas. Elle étouffe un petit rire qui la fait souffrir également, sa gorge s'est imprégné de trop de poussière dans le pays du sable. Oui, ça serait judicieux.

Il voit bien que même rire lui fait mal. Il grimace, ne pouvant pas, devant elle, cacher plus que ça son inquiétude. Peut-elle vraiment mettre bas dans ces conditions ? Il hoche la tête et sans répondre, la quitte un instant pour tenter de trouver son jeune frère. Il hennit pour l'interpeller, où qu'il soit, en espérant qu'il se trouve au moins sur l'Île.

(faut préveinr océ du coup )

**Messages :** 64 **Inscription :** 31/03/2020 **Age :** 31 **Pseudo :** Céci

Mais il apparaît sitôt que l'hennissement retentit, jamais bien loin, ombre de leurs ombres. Il ne se préoccupe pas du lieux choisi, ne focalise que son attention sur sa mère qu'il sent en souffrance, la partageant par connexion. Son regard glacé glisse sur son frère, sans rien dire. Il n'a pas beaucoup ouvert la bouche depuis que leur mère est libre, du moins, encore moins que d'habitude. Depuis qu'ils savent tout ce qu'elle a subi. Il ne lui en veut pas spécialement à lui. Il leur en veut à tout les deux, ses deux fils, de l'avoir laissé si longtemps. Elle était en vie. Mais elle n'était pas entière.

Arrivé près de sa mère, il glisse ses naseaux le long de son chanfrein humidifié par l'effort. Cela le dégoutterait s'il ne s'agissait pas d'elle. Tu es faible. Lâche t-il, abrupt et sans appel. Si Faucon et lui ne l'aidait pas, ils la perdrait, elle, mais aussi l'enfant. Allonge toi près d'elle. souffle t-il à son frère, déjà ancré dans son rôle de guérisseur, mettant de côté celui de frère, celui de fils. Il se poste derrière Mygale. Je veux que tu pousses l'enfant vers moi quand elle aura une contraction et qu'elle poussera également. Tu lui feras mal, mais tu l'aideras. En parlant de contraction, il en aperçoit justement une grosse. Poussez ! Leur ordonne t-il à tout les deux.

De drôles d'images assaillent Faucon à cet instant. La dernière mise bas à laquelle il a assisté, c'était celle de Narval, justement. Après son premier meurtre, son dernier entraînement. Fixant sa mère ouvrir de ses dents le ventre de la victime qu'il avait achevée. Pour en extraire un être qui allait devenir son fils - et pour lui, un frère de sang. Différemment de ce qu'on entend. Il se reprend vite en entendant les ordres de Narval. En temps normal, il remettrait à sa place quiconque lui parlerait sur ce ton, pourtant il ne bronche pas. Il sait que c'est nécessaire et que son frère a pris cette fermeté comme il possède lui-même. Il se couche donc près de sa mère, gardant son oeil rivé sur Narval en attendant la suite. Pousser l'enfant ? Mais le pousser de où, depuis son ventre ? Il ne comprend pas, a peur du coup de faire faux mais il n'a pas le temps de demander plus de précisions que Narval beugle. Bon sang. S'il a tout fait pour sauver sa mère pour qu'elle meure aujourd'hui, ça serait vraiment le comble. Il se met alors à pousser contre le ventre de Nyveèn, sans la regarder, se doutant qu'il lui fait mal, pour l'aider à extraire l'enfant tant que la contraction est présente. Ou du moins, à l'avancer un peu ?

**Messages :** 19280 **Inscription :** 29/03/2013 **Age :** 24 **Pseudo :** boo

Elle n'avait rien a expliquer, ils comprenaient tous les deux. Narval surtout, détaillait les faits et tirait au plus vite des conclusions rigoureuses. Et tout se passe vite. Il lui dit de pousser au moment où une grosse contraction se produit, où un cri effroyable sort de sa gorge asséchée. Elle s'empresse de fermer la bouche, elle ne voit rien, son oeil valide étant face contre terre. Il lui faudra apprendre à vivre avec, enfin plutôt sans, et avoir les bons réflexes. Sinon elle sera faible, beaucoup trop faible, proie facile. Alors il faudra en faire une force. Comme Faucon a su le faire. Finalement, l'enfant sort sans trop de peine, même si Mygale se sent broyée de l'intérieur comme de l’extérieur. Ils ont réussi. Sans eux, elles y passaient toutes les deux. Car oui, il s'avère que c'est une fille. Il faut un temps pour l'araignée avant de se remettre de tout ça et de se lever. Elle compte sur ses fils pour nettoyer la petite de Styx avant de poursuivre son rôle maternel.

Il n'a pas encore eu le temps de discuter de ça avec elle, mais plus tard, il lui apprendra. A transformer ce handicap en force. A prendre le meilleur de ce qu'il peut leur offrir. Ils se ressemblent plus que jamais, maintenant. Mais peut-être aura-t-elle plus de mal que lui. Parait qu'on s'adapte plus vite quand on est enfant. Et, surtout, Faucon n'a jamais vu avec ses deux yeux, lui. Il n'a jamais pu penser qu'il lui manquait quelque chose.
La petite - oui, c'est une fille - sort du ventre de sa mère. Il la voit épuisée. Il sait que cela dégoûtera Narval alors il s'y colle. Il s'approche de la poche, la perce des dents, et commence à lécher le petit être qui va devenir sa soeur. Décidément, il commence à en avoir un paquet. Celle-ci, il la protègera contre tout. Personne ne la touchera. Il en fera une machine de guerre s'il le faut. Il aurait préféré un mâle. Y a moins de façon de le traumatiser, un mâle.

**Messages :** 64 **Inscription :** 31/03/2020 **Age :** 31 **Pseudo :** Céci

La lutte est intense et les efforts puissants. La douleur de sa mère éclate dans ses oreilles et se répercutent sur l'ensemble de son squelette. Mais il s'enfonce un peu plus encore dans sa bulle, dans son monde, n'existe alors que son objectif. Sortir cet enfant indemne et sauvegarder la vie de l'araignée. Après une poussée ultime, et avec l'aide nécessaire de Faucon, les antérieurs pointent enfin le bout de leur nez et Narval s'en empare, tirant doucement le nouveau né vers lui, pour le libérer plus vite, pour libérer Mygale plus vite. Le corps visqueux s'échoue à ses pieds. Il s'est découvert un instinct de soin, mais face à une vie nouvelle, il reste stoïque. Sa mâchoire se contracte légèrement, incapable de faire quoi que ce soit. Mais Faucon le connait trop bien et prends les choses en main. Narval est déçu de ne pas avoir pu passer outre son dégoût. Mais la petite, sa sœur, semble en bonne santé. Il va marcher quelques plantes adéquates qu'il trouve autour de l'arbre, en fait une bouillie et l'amène à sa mère. C'est amère, mais cela te fera du bien. Ses yeux glacés glissent jusqu'à son frère, jusqu'à sa nouvelle sœur. Il l'aimera. Il l'aime déjà, même si il ne le montre pas. Comment souhaites tu l'appeler ?

**Messages :** 19280 **Inscription :** 29/03/2013 **Age :** 24 **Pseudo :** boo

ce sont des enfants parfaits materne aile 1197653561

Tout se passe vite et bien. Faucon s'affaire vis à vis de l'enfant et Narval de l'araignée. Elle engloutit le tout d'une traite. Anewor. C'est le nom de ma mère, Rowena, à l'envers. lâche t-elle. Anewor de Styx. C'était beau. En parlant de mère, Narval. Je ne suis pas ta mère biologique. Ta mère, c'était l'entraînement ultime de ton frère, il l'a tué, sous mes ordres. On a vu que tu étais à l'intérieur, alors on t'a sorti et élevé. Elle avait prévu de lui annoncer, mais pas maintenant. Peut-être que Faucon lui avait déjà dit, par ailleurs. Et ne va pas t'imaginer que, parce que tu n'es pas mon fils de sang, tout change. Rien ne change, je t'aime Narval.. Elle ne voit toujours rien, dans le noir complet, mais elle essaie d'orienter sa tête pour parler à son fils aîné. Et je t'aime aussi Horus. Merci les garçons, vous êtes mes plus belles réussites. Espérons que la petite nouvelle soit aussi brillante que vous.

non mais merci maman quoi

Anewor ? Faucon trouve cela harmonieux, joli mais.. mais quelque chose le chagrine. Tu ne souhaites pas l'intégrer à la Tribu ? demande-t-il doucement à sa mère, peiné à l'idée d'imaginer sa petite soeur loin de lui, des siens, de sa famille. Il n'a pas envie que sa mère se barre non plus, surtout. Puis tout d'un coup, alors qu'il finit de lécher la petite, sa mère balance la plus grosse bombe de tous les temps. Faucon se tend, figé. Il fixe l'enfant comme s'il se sentait coupable.
Loin de lui cette idée. Il ne s'est jamais senti coupable de son acte. Sans un mot, il lève juste son oeil bleu vers son frère, quêtant sa réaction avec un mélange d'angoisse et de soulagement - qu'enfin, il le sache. Il reste muet mais son oeil parle pour lui. Je voulais te le dire, un jour. Il préfère se concentrer sur la nouvelle naissance, dans sa tête. Ne pas se souvenir du visage de cette jument innocente, pleine. Son nom, c'était Bailey, il ne l'oubliera jamais. Il n'a que deux meurtres à son actif mais il n'oubliera pas leurs visages. Et ceux des suivants non plus.

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(ah et au fait mdr, on dit que anewor est pnj là, flemme de la jouer pour dire qu'elle tient pas sur ses pattes, faites-en ce que vous voulez :aa:

)

**Messages :** 64 **Inscription :** 31/03/2020 **Age :** 31 **Pseudo :** Céci

Anewor. Un bel hommage rendu à Rowena, bien que la non appartenance aux Nayatis le fait tiquer un peu. Leur mère déciderait-elle d'abandonner le clan après tout ce qu'elle avait pu subir ? L'inquiétude perce dans son regard, qu'il pose de manière un peu trop abrupte dans celui de l'akhal. Enfin, dans ce qu'il en restait du moins. Faucon partage son sentiment, le dévoilant de vive voix sans qu'il n'ait à le faire. Mais ce qui suit est … Inattendu. Et pour la première fois, on peut lire très distinctement sur son visage les différentes émotions qui mènent bataille en lui.
Il est immobile, accuse le coup que chacun de ses mots lui portent. Faucon a tué sa mère. Sous les ordres de Mygale. Et l'ont extirpé de ses entrailles. Il se répète silencieusement les informations pour complètement les assimiler. En réalité, cela ne lui fait ni chaud ni froid d'apprendre le triste sort subi par cette mère, cette génitrice plutôt, dont il ne connait rien. Il ne peut pas être triste pour elle, ni en colère. En revanche le poids du mensonge l'accable, si lourd qu'il doit ancrer fermement ses sabots dans le sol pour ne pas faiblir sous son poids. Tout ce temps … Pourquoi maintenant ? Et la déception, si grande, si imposante. Il n'est pas leur égal. Tout ce qui n'est pas eux le répugne, les mettant sur un piédestal inatteignable pour le commun des mortels. Il s'englobait lui même dedans. Mais voilà qu'il n'était finalement pas à la hauteur, qu'il n'était que le fruit de la banalité. Et c'était ça qu'il avait le plus de mal à accepter.
Et vinrent d'autres mots, qu'il avait tant attendu et tant aimé entendre. C'est étrange de les entendre aujourd'hui, après tout ça. Je t'aime Narval. Il n'avait jamais eut de doute là dessus, et bizarrement, il n'en avait toujours pas. Mygale l'avait toujours aimé, les avait toujours aimé, à sa manière certes, mais sincèrement. Elle n'avait jamais eut besoin de le dire, même si il avait toujours secrètement désiré qu'elle le fasse. Comme Faucon d'ailleurs. Il faisait tout pour qu'ils soient fiers de lui, toujours. Ils étaient tout les deux son tout, son absolu. Et lorsque l'amère révélation sera passée, ils continueraient de l'être. Alors même si ses gênes font qu'il ne brillera jamais autant qu'eux, il se surpasserait d'autant plus pour ne pas les décevoir, pour ne pas les dégoûter. Ils restent sa mère, son frère. Et Anewor aussi à présent agrandit son cercle d'élite, de privilégiés dans son cœur et son âme.
Il balaie d'un revers invisible les diverses émotions qui se sont emparés des traits de son visage pour recouvrir son habituelle impassibilité, contractant seulement la mâchoire. Il se décide enfin à glisser un regard vers l'unique œil valide du bai, puis sur la petite pie à ses côtés, avant de revenir à leur mère. Quand pourrai je faire mon ultime entrainement ? Voilà ses seuls mots face à ce terrible secret de famille. Parce qu'il doit leur prouver, et se prouver à lui même, qu'il mérite de vivre à leurs côtés.

**Messages :** 19280 **Inscription :** 29/03/2013 **Age :** 24 **Pseudo :** boo

Et si Narval percevait cette révélation comme un mensonge, Mygale n'y voyait là qu'un oubli. Il la fascinait, il était incroyable. Plus stoïque et impassible, on aurait rarement mieux vu. Alors oui, elle ne l'avait pas mis au monde, mais elle l'avait élevé, et c'était clairement ça qui lui importait le plus. Anewor de Styx, ce sera le nom qu'elle présentera à Luanera entier. Orée, sera réservée aux Nayatis. Lâche t-elle. Elle avait nommé Faucon Horus préalablement, et que ses enfants aient un nom originel lui plaisait. Seul bémol, Narval n'en avait pas, puisqu'il a intégré la Tribu aussi tôt. Mais Narval, ça lui allait tellement bien. Son regard transperçant tel un poignard aiguisé, le froid incarné. Vous êtes des de Styx. Alors votre ultime entrainement se fera par le biais de votre aîné le plus proche. Faucon, tu te chargeras de celui de Narval, et Narval de celui d'Orée. Ce n'est pas une question, c'est un fait, une affirmation. Ce sera la tradition. Et Nyveèn était certaine que Faucon prendrait ce rôle à coeur.

Orée. Faucon préfère ça à Anewor, même s'il convient que pour leur mère, cela est important qu'elle puisse faire honneur à sa propre mère. Il préfère savoir d'avance sa petite soeur bien intégrée dans la Tribu où il est parfaitement établi aujourd'hui et pour qui il donnerait tout. Un nom différent serait la condamner à l'exclusion. Il hoche simplement la tête, continuant de lécher la petite Orée qui remue, barbouille quelques mots incompréhensibles. Cela le fait sourire.
Est-ce qu'il ferait un bon père ? La question l'effleure, il la laisse s'évanouir dans la jungle de son cerveau. Puis, vient la réaction de Narval.
Ou plutôt l'absence de réaction. Et pour cela, Faucon est fier. Ils se ressemblent tellement, tous les deux. Toujours aussi froids, aussi impassibles. A croire que la terre pourrait s'écrouler sur leurs pieds ou le ciel sur leurs terres qu'on ne percevrait aucune angoisse et aucune émotion dans leurs yeux ou sur leurs visages. Fascinants pour certain, un vrai code d'apprentissage pour eux. Il s'attend à des questions mais Narval les balaie et ne les prononce pas. Peut-être les lui posera-t-il en privé. Il y a des choses qu'on ne partage qu'entre frères. Puis, à sa question, il sent ses lèvres s'étirer. De fierté, encore. Son unique oeil brille légèrement, c'est électrique, éclectique. Il va justement se proposer quand sa mère le devance. Il hoche la tête, comme docile. Je comptais justement m'en occuper, oui. Il tourne la tête vers son frère et lui transmet, par le biais de son seul regard, plus d'amour et d'affection que ne pourraient le souligner de simples mots. Ils n'en ont pas besoin, des mots. Et moi aussi je t'aime, Narval. Il l'ajoute quand même, peut-être parce qu'il a senti qu'il se devait de le lui dire, au moins une fois. Au moins pour qu'il n'en doute jamais. Car Faucon ne parle pas s'il n'est pas sincère. Il entraîne doucement leur petite Orée près de sa mère, qu'elle retrouve son contact et sa chaleur. Wesh il va pas l'élever à sa place non plus, déjà qu'il a la bouche gorgée de son odeur à force de l'avoir stimulée. Il la dépose doucement - bien différemment de la façon dont il avait pu trainer le petit de Tsunami - contre elle et pose ensuite ses lèvres sur le front encore humide de Mygale. Son oeil valide se fige dans le sien. Il lui manque le gauche, à elle le droit. Quand tu seras remise, je t'apprendrai. D'un mouvement de la tête, il désigne son oeil manquant et affiche un léger sourire, fier de pouvoir enfin lui apporter quelque chose. C'est un prétexte aussi pour la voir une fois en privé. Il veut savoir tout de sa captivité. Non pas que Narval ne puisse pas tout entendre - car il le peut - mais Faucon a des questions qui pourraient sembler bien déplacées par leur rudesse.

» « Galop ailé »
» ϟ s'en va battant les murs de son aile timide
» Aucune aile ici-bas n'est pour longtemps posée