i'm bigger than you ~ E

( Je le préférais en non-frison \ö )

Elle était pas loin. Cela faisait dix minutes qu'elle se trouvait non loin du champ de menhirs. Elle voulait à la base se faire une petite visite auto-guidée des menhirs, mais quand elle s'était aperçue de cette silhouette massive, elle avait arrêté toute entreprise. Elle observait seulement.

il a toujours été frison c'était moin flagrant sur l'autre photo. mais elle me saoulait et je voulais changer, celle là est temporaire je trouve rien èé

Je te sens, je te sais ici, pourtant mon regard reste ancré dans l'horizon. Je te veux, là maintenant, mais je n'irais pas te chercher ma belle Psychee. Ton odeur m'ensorcèle, m'exite. Mes naseaux se dilatent et mes muscles se contractent. Ma queue fouette sèchement l'air alors qu'un sombre ronflement gronde de mes naseaux. Soudain, ma tête se tourne et mon regard se pose sur toi, la bas au loin.

Maintenant, c'est bon ♥ :D

A découvert, elle l'était. A présent, il l'avait vu. Son regard était posé sur elle, comme scotché. Fichtre.
La petite alezane baissa automatiquement la tête puis prit le pas. Elle se dirigea vers l'étalon, d'un pas majestueux et dynamique. La tête maintenant haute. S'approchant du noir, elle vint se nicher dans son poitrail. Sans un mot.

moi j'aimais bien l'autre ca fsait mystérieux et tout

Sans mot-dire non plus, je la laisse s'approcher sans la quitter du regard. Quand elle se glisse contre ma peau bouillante je passe ma tête au dessus de son encolure et la ramène contre moi, l'odeur de ses chaleurs m'exitant de plus en plus, mes muscles se contractent et mes souffle s'intensifie..

Elle se recula soudain. Le regard planté dans celui de l'étalon, elle ouvre la bouche.
< Je dois partir. > annonça-t-elle. Son regard se baisse, et caresse le sol. Sans plus attendre, elle fait demi-tour et retourne sur ses pas.

Sauf qu'elle n'était pas d'humeur. Cela faisait longtemps qu'ils ne s'étaient pas vus. Il n'avait pas cherché à la revoir, donc le verdict était tombé. Il mentait. Il se voilait la face.
Elle le contourna, l'évitant. Elle reprit le pas, sans lui adresser de regard. Tu ne m'auras pas, mon coco.

< Certaine. > claqua-t-elle. Il y avait des étalons à en perdre la tête; elle en retrouverait un. < De toute façon, avec ton statut de dominant, tu n'auras pas de temps à m'accorder. > ça, c'était dit et fait.

Elle s'arrête. S'en se retourner, elle déclare. < Tu l'es. Tu ne m'aimes pas de toute façon. Ça se lit dans tes yeux. > Elle reprend le pas, continuant son chemin.

Ment-il encore ? Elle se retourne. Elle regarde cette silhouette massive non loin, tout près comme il dit. Elle s'avance doucement vers lui, se poste devant lui. Elle cherche son regard, elle veut lire ses yeux, elle veut lire dans cette noirceur profonde. < Me mens-tu encore ? >