♤Et mieux vaut ne rien faire que de faire mal

Kléo

La bicolore se promenait en bas des immensités construites il y a longtemps. Elle était fascinée, par tout ce travail. Ça avait payé au fait.

L'alezane, arrivée ici par hasard, se promène, regardant les pyramides en ce demandant comment elles avaient bien pu être édifié. Un légère odeur équine vient lui titiller le nez. Elle regarde la tête et cherche la provenance de cette odeur.

C'est l'heure de jouer.. Une jument approche, elle ne l'a pas encore vue mais déjà sentie. 'Fallait dire.. l'odeur de Kléo; miam! Doucement, elle se dissimula entre deux buissons par-ci par-là et attendit que l'alezane passe devant.

Elle sent l'odeur d'une jument, sans pouvoir la voir. Comme c'est frustrant pour la jument. Alors, elle tourne encore, encore, encore. Cherchant. Non. Elle n'a pas fait attention à ce buisson. Elle devrait peut-être, mais ce n'est pas pour autant qu'elle y prête une quelconque attention. La rousse est frustrée et soupir.

Ca y est, elle est tout proche. Elle secoue ses fesses, prête à bondir et crie « GRAOUUUH!! » en sautant sur elle, tel un félin.

La rousse lâcha un hennissement de surprise et frôla l'arrêt cardiaque. Une jument pie venait de sauter sur la cuivrée. Elle s’ébrouât, repris ses esprits et regarde l'autre équidé,«« Namé ça va pas la tête ?! »».

Elle était semi-agripée à l'alezane; elle tenait du bout des sabots de ses antérieurs, les postérieurs de la rousse. « Bonjour Bernard. »