InvitéInvité
 |  Mer 18 Nov 2009 - 20:27 | |
| - L'étalon déchiquetait un puma à l'abris des regards (indiscrets) et le lançait en l'air, toujours plus haut. Quand il fut lassé d'entendre le bruit du fracassement des os brisés encore et encore, il le lança contre les parois rouges. Puis, décidant de le désarticuler une bonne fois pour toute, il l'envoya valser avec brutalité contre une pierre, se cabra et retomba de tout son poids sur le félin. Le sang avait humidifier ses sabots, qui prenaient à présent une couleur rouge sombre.
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| | Mer 18 Nov 2009 - 20:33 | |
| Parcourant le désert, Balzac adoptait une attitude des plus masculine, sous le soleil de midi, sur sa robe commençait à se former quelques perles de sueurs. Depuis la matinée, elle n'avait cesser de galoper, encore, et toujours.
Reprenant son souffle, la mustang sentit une odeur familière, celle du sang s'évaporant dans les airs. Un regard malicieux éclaira alors son visage, sagement, la crème se dirigea vers le doux parfum encore chaud. |
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| | Mer 18 Nov 2009 - 20:45 | |
| - Sentant une présence inconnue, l'étalon laissa le puma aux mouches et s'avança de quelques pas, les oreilles aux aguets. Un sabot postérieur devant le dos du puma, il frappa d'énervement le félin sablé qui devait être mort & archi mort
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