❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт...

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elle se sentait légèrement seule et la pauvre pouliche espérait peut-être rencontrer son compagnon de jeu, même si parfois cela la rendait juste un peu nerveuse. Ąsтαℓα connaissait ses limites et elle n'hésiterait pas à s'éloigner de Tipiak, s'il devenait un peu trop dangereux. L'enfant venait tout juste d'accoster sur ces terres et elle espérait y voir son père, car même s'il ne lui apportait pas beaucoup d'attentions, la petite faisait tout son possible pour être une bonne fille qui veut suivre l'exemple de son papa.

[Je peux ? :chx:

]

La Esposa sortait de sa cuisine pour profiter un peu du jour. Dans sa petite balade, elle percuta une pouliche. Astala. La vieille la fusilla du regard. « Astala. » Articula-t-elle comme on articule le nom d'un inconnu.

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( Oui, certainement que tu peux et en plus, avec la maman adoptive. ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 4210004060

)

La petite demoiselle avait un fort tempérament comparé à certaine autres femelles de ce bateau et lorsque son visage croisa celui de l'innocente demi-mère, La Esposa, Astala grogna impulsivement. Mais, elle se calma bien vite et fit une face si étrange, un sourire légèrement agaçant. - Oh, comme on se retrouve. Une inconnue comme on ne les aura jamais vu, n'est-ce pas, chère fausse mère? lança-t-elle, pour véritablement l'embêter, sans gêne ou honte de quoi que se soit. Elle l'a contourna et la dévisagea de haut en bas, un sourcil arqué. - Ta jamais encore remarqué que t'avais le sabot dans la merde de cheval? lança-t-elle, en riant aux éclats et en reprenant sa place initiale, un peu chipie celle-là, en présence de cette jument seulement.

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(Roh, désolée, je suis prise entre plusieurs feux en ce moment ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 258324

)

La esposa gueula littéralement. « Maintenant tu vas la fermer sale mioche, ou t'auras affaire à ma poêle ! » La noiraude broncha puissamment, élevant son ombre trapue sur la petite insolente. Elle ne réagit pas à la remarque désobligeante d'Astala, sachant pertinemment qu'elle se moquait d'elle et attendait tout simplement qu'elle regarde bêtement son sabot. Un rictus nerveux s'afficha sur le visage de la mégère, non, elle ne donnerait pas ce plaisir à la petite. « Je savais pas encore que la merde pouvait parler. »

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( Ce n'est pas grave du tout, je ne suis pas rancunière. ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 4210004060

)

Astala plongea son regard dans celui de la jument et soupira. - Non, mais ferme ta grande trappe. Ta poele, c'est bien la dernière chose que me fera peur et surtout toé. râla-t-elle, en tirant la langue, une vraie garce. Elle s'en approcha et bondit sur le côté, l'empêchant de l'atteindre si elle avait eu l'intention de la toucher ou pas. - Je savais pas encore qu'une remplaçante pouvait avoir une apparence aussi laide. lâcha-t-elle, en poursuivant, voyant une grosse branche pendante au loin. Une idée lui vint à l'esprit.

Pas démontée pour un sou, La Esposa lorgnait la fillette, mauvaise. « Et pourtant, tu devrais en avoir peur... » Que la petite la traite de laide, ça ne lui faisait ni chaud ni froid - en tout cas, venant d'elle. « Moins que la garce qui s'est prostituée pour te donner naissance, sale gosse, vu ta face. » Toute la rancœur de la liaison cachée de Crochet et de cette mystérieuse mère perçait au travers de chaque mot. La noire ressentit un profond plaisir à parler ainsi de la génitrice de cette petite peste. Voyant le regard vicieux de Astala, la noiraude pivota et commença à repartir pour gagner les cuisines, l'œil encore attentifs aux moindres gestes de la mioche.

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Astala se mit à rire aux éclats et secoua négativement la tête. - Ta face est aussi pire que la merde que tu fais dans les cuisines, tu devrais t'en rendre compte, face de poisson. râla-t-elle, en la dévisageant de haut en bas. Puis, lorsque la conne parla de sa véritable mère, elle soupira comme si tout ces mots avaient une importance pour la fillette. - Comme si insulter ma véritable mère allait m'affecter. Tu déconnes, la grosse? T'étais mieux chez les espagnole, au moins, là-bas, y en avait qui voulait de toi. dit-elle, en riant et devenant si impulsive. Lorsque l'autre revint proche de sa cuisine, la branche, enfin l'énorme morceau de bois pendouillait le long de l'arbre, près de la porte et puis, la fillette attendait juste le bon moment.

« Arrêtes tes gamineries veux-tu, j'ai des hommes à nourrir. » Lâcha la noire, lassée de cette petite conne. Elle continuait son chemin, attirant au passage le de regard des matelots. Ah, c'est qu'elle était un peu défraîchie, la belle espagnole, mais toujours aussi voluptueuse ! Tout le monde lui aurait bien sauté dessus, si elle n'était pas la femme de Crochet, ni la cuisinière tant redoutée de ce bateau. « Oui, j'étais mieux là-bas, j'en suis convaincue. » Grommela-t-elle, de mauvaise humeur.

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La gamine l'écoutait même plus et lorsqu'elle passa près de l'arbre en question, la fofolle s'élança en donnant un violent coup contre le tronc pour faire tomber l'immense morceau de bois sur la tête de l'autre conne. Puis, elle lui afficha un sourire et un peu fière d'elle. - Tant mieux, retournes-y. déclara-t-elle, en tirant la langue en allant près des matelots.

[Un arbre sur un bateau ? ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 923492

]

La noiraude fut alertée par le bruit et fit un brusque écart. Son regard ténébreux pivota vers Astala. « Ça te ferait bien trop plaisir, petite garce. » Personne n'osait dire un mot devant la colère de la cuisinière, dont le courroux était redouté de tous (sauf de Astala, bien entendu). Imperturbable, La Esposa tourna les talons et se mit aux fourneaux. Il allait bientôt faire faim.

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( Oups... un peu trop distraite la fille. Je parle avec mon ami d'enfance en même temps et je l'aime disons un peu trop... Donc, je suis pas toute là, dans mes réponses. ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 4210004060

)

La jeune femelle se mit à rire. - Toujours, la vieille cuisinière à l'odeur dégoûtante. dit-elle, le sourire fendu jusqu'aux oreilles.

(No prob

)

La noiraude ne répondait plus, jugeant qu'elle n'avait pas son temps à perdre avec cette ordure de pouliche. La Esposa commença alors à cuisiner une tourte au thon géante, de quoi satisfaire tout le monde.

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( Merci bien. ❥. Ąsтαℓα ιs тнεrε вυт... 4210004060

Poulette. )

Astala, la petite peste observait la scène avec beaucoup d'amusements et d'excitations, son hyperactivité grimpait à chaque seconde d'un cran, sans pour autant devenir insupportable. Mais, bientôt le jeu allait de nouveau recommencer et lorsque ses petits yeux s'arrêtèrent sur de gros tonneau, la gamine dévisagea les matelots et se lança sur un afin de le faire tomber pour le faire rouler vers la cuisinière qui puait grandement la merde de poisson. Avec un acharnement incroyable et une force sortis de nulle part, la pouliche le fit rouler très rapidement, disons-le, vers La Esposa, sans honte ou culpabilité. La voir se battre contre un tonneau allait tout simplement alimenter le désir de la faire chier sérieusement, par la suite et ça, c'était ce qu'attendait la gamine de un an. Astala était vraiment une petite fofolle qui ne se gênerait pas pour se mettre dans les pattes de la cuisinière garçonnière ainsi que de lui tendre plusieurs pièges bien concoctés.

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Sushi

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