Des larmes inutiles ? ..

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Ahh les champs, surement un autre endroit que j'aimais. Une étendue où l'on pouvait galoper et faire la course tout en s'amusant. C'est un endroit où l'on peut se défouler sans avoir conscience de ses propres limites. Mais ici, c'est l'endroit où il a enfin vu ses parents, Emblem & Sorely. Mais passons. Le passé est le passé, le présent est et reste le présent. Tout allait mieux dans sa vie, mais il y avait une autre ombre au tableau ; J'avais vu Kookai avec ce cheval isabelle, Virus, je crois. Mais qu'il vienne, je l'attends.

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Et il était là, occupé à son activité favorite : bouffer. Mais bon, il avait bien sentit l'étalon et se dit qu'il allait (quand même) être sympa et go-er lui dire bonjour. Il avait juste légèrement un peu beaucoup la flemme. Mais quoi ? Ah, s'il avait pu être un arbre il n'aurait pas été obligé d'être aussi sympa. Enfin il avait appris que le dominant de la plage allait être désigné, fallait qu'il se prépare à combattre pour reconquérir le territoire qui était sien (cmarqué dans le testament *SBAAF*).

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Tu es bien Virus, non ?

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/ C'est le nom que mon donné mes parents, parce que j'étais un connard et que je détruisait le ventre de ma mère à coup de sabots. Enfin à ce qui parait, parce que j'étais un peu groggy à l'époque. /

Comment raconter sa vie.
Bref, il se rappella qu'il avait brievement sentit son odeur au Ranch. Enfin, ça n'avait pas d'importance, en quoi la discution entre Kouki et lui concernait-il un étalon ? Vu que son ex était mort, il pouvait normalement discuter avec son amie sans ambiguité, nahméo.

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Quelle coincidence, je me trouvais justement à deux pas des deux étalons. Si ça se passait mal, ce serait marrant mais j'avais pas envie que J'Adore ne soit plus blanc et que Virus se réincarne en arbre après sa mort. Je m'approchais donc en trottinant, la queue en l'air, attitude que je n'avais pas eu depuis longtemps. J'Adore que fais-tu ? Pourquoi tu as cette voix si froide ? Virus n'a rien fait. Enfin trucide le si tu veux, je m'en fou. Mais si tu le fais, je ne vois pas ce qui m'empêchera de tuer à l'avenir. Je m'avance entre vous deux, la mine un peu moins joyeuse.

« Bonjour, vous. »

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Quel est l'intêret d'aimer si on n'est plus ensemble ? Tu as encore et sûrement quelque part, enfoui dans toi, des sentiments pour ma belle. Je ne peux pas tolerer que quelqu'un d'autre soit sur mon terrain. Puis, tu es là, tu apparais, juste pile au moment ou j'allais exploser de rage. Va savoir, cette hargne qui remonte d'un coup, je sais de qui je tient, au moins. Mais qu'importe. Je te regarde froidement, et j'ai bien peur que je ne sois pas aussi cool que Kookai t'ai dit, désolé. J'esquisse un sourire à la noire, puis rive mes yeux à présent sur toi. Tu as eu de la chance sur ce coup là.

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/ Oh, salut Kookaï. Si vous voulez je vous laisse hein, je vais me recueuillir sur les tombes de mes parents, ça fait 2 ans que ma mère is dead =). /

Ouais bon, c'est pas viril de se défiler, et avec Kook dans les environs il oserait pas. Mais même. En plus c'est même pas vrai c'était hier et il a pas cueuillit de fleur, le fils ingrat.

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Nanmého. C'est quoi ce bordel. Pourquoi tout le monde se fou de ma gu*le ? Enfin en même temps, c'était assez cool que deux mecs se battent pour vous. M'enfin mon chéri m'avait quand même lancé un espèce de sourire forcé tout moche. Des larmes inutiles ? .. 570871

« Vous parlez de moi ? Des larmes inutiles ? .. 653621

»

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/ Non, on parle du pape et on se disait qu'il était sexy en porte-jartelle. /

Et puis l'autre là, il se jeta sur le pauvre Virus qui, bien évidement, évita. Putain, il est fou ou quoi ? Virus is a pacifist. Si il fumait la même herbe que Vivi il serait plus detendu le constipé là.

Analyse rapide de la situation. D'un côté un étalon jaloux qui croit que je veux procréer avec Kook. Ce qui n'est pas faux, mais bon, je le cache. De l'autre, Kookaï, qui, si elle voit du sang, risque de s'enerver et de se mettre du côté de J'Adore. En gros deux chevaux prêts à m'abbatre. Koul. Par contre j'ai dit que je voulais Paladium avant d'être un arbre. Je me demande si j'ai le droit à un " Time Out ". Je pense pas.

Moi non plus Virus, moi non plus.

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Je ne souris même pas à la remarque de l'isabelle. Elles sont pas drôles ses blagues. Et puis... J'Adore, qu'est-ce que tu fais ?? J'ai vu l'horreur. Ton visage déformé par la haine et tes dents sorties m'ont brisés le coeur. Ainsi toi aussi tu es double. Je pensais que tu aurais effacé tes parents dans ton caractère. Mais tu es completement fou ! Je ne peux m'empêcher d'étouffer un cri.

« J'Adore ? Mais, qu'est-ce que tu fais ? »

Je suis sous le choc. Ce sont les seules paroles qui sont sorties de ma gorge. Est-ce que je ressemble à ça, moi aussi, quand le sang coule ?

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Je n'écoute plus personne, et je n'entends plus rien. Kookai, tu me cries après, je n'entends pas. La seule chose que j'entend sont mes battements de coeur convulsés. Ainsi, c'est vraiment vrai ce que m'a dit ma mère. Quand on veut tuer, on n'écoute plus rien. Tu m'évites, et tu as bien fait. Je me relance sur mes sabots, et saute carrément sur toi, mes dents prenant comme repère ton garrot, que je mordit jusqu'au sang. Désolé, désolé, Kookai.

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Passage à la première personne pour narrer le combat =)

J'aurais bien pu éviter la morsure qu'il m'infligea au garrot. Mais bon, pendant qu'il s'acharnait sur mon garrot, j'avais la tête libre. Je me décala légèrement, de façon à me trouver face à lui. Parfait. J'allongea rapidement l'encolure et lui mordit sauvagement la gorge. J'étais plutôt pacifiste, mais si ma vie était en jeu je n'hésitais pas. Et Kookaï qui allait devoir assister à ça... Je voulu tenter une ultime fois de le raisonner.

/ Franchement, pourquoi tu veux me tuer ? Kookaï t'aime toi, pas moi. Tu veux me tuer alors que tu as tout. Je t'envie, dans un sens. Je n'ai rien. Mes parents sont morts, mes frères et soeurs ont disparu, la jument que j'aimais est avec toi, je n'ai pas d'enfants à part un qui veut ma peau, je n'ai connu l'amour qu'une seule fois, et il a été bref, j'ai aimé à sens unique, je suis nul au combat, même si je suis musclé, je n'ai pas le gène combatif, j'aime pas tuer, et toi, tu veux me tuer. A tu au moins une raison de le faire ? Je ne crois pas. Si tu veux que je ne parles plus du tout à Kookaï, je dirais non, car j'ai le droit de voir mon amie. Enfin je ne peux croire que tu nous fasses une crise de jalousie alors que ni elle ni moi ne nous aimons. Je n'aime pas Kook. Elle ne m'aime pas. Elle t'aime. Je n'ai rien à voir dans votre couple. Si encore je l'avais saillie pendant ton absence, je me serais laissé faire mais là.... Enfin, je n'essaie que de te raisonner. Après j'ai eu le temps de placer tout ça en te bouffant la gorge par intermitance et en me faisant détruire le garrot. Tant pis. Je ne suis pas mort tant que les matières qui sont dans mon corp ne sortent pas par tous les orifices. Allez, essaie de me tuer, qu'on rigole. /

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Je n'écoutait plus rien, mais ce n'était pas comme J'Adore. Non, ce n'était pas de la haine qui bloquait sa gorge, mais de la surprise et de la peur. Tu m'avais trahi. Comment réagirais tu si je faisait la même chose ? Il n'y avait plus qu'une chose à faire. J'allais beaucoup le regretter. Tant pis, je ne pouvais pas rester la à regarder mon amour se transformer en monstre. Mes oreilles se plaquèrent automatiquement sur mon crâne, comme une vieille habitude. Ma queue se mit à fouetter nereveusement et sans réflechir plus longtemps, je me jette sur l'étalon blanc et plante mes dents dans la chaire, là où reste des cicatrices de sa capture. Je regrette, oh oui, je suis désolée. Mais je ne peux pas faire autrement.

Invité

Comment peut tu dire que je t'ai trahie ? Chacun a son secret. Voici le mien que je ne sort qu'occasionellement. Et je suis coupé net dans mon élan, tu m'attrapes la gorge, je me débats comme un fou, je n'arrive pas à m'en sortir. Et tu essaie de me raisonner, mais je ne veux rien entendre de tout cela. Ma tête et mes sens sont visés vers toi et je ne peux m'en délier. Quoi qu'il en soit, tu me donnes le feu vert pour que je te tue, alors .. Puis, des dents s'enfoncent dans mon dos, et je crie de douleur. De douleur, je bondis sur mes postérieur, tout en m'arrachant la peau de la gorge que Virus tient. J'ai deux chevaux contre moi, mais rien ni personne ne m'arrêtera. Dans un élan, je fais un impact contre l'isabelle et nous tombons au sol, moi par dessus toi, t'emprisonant de tout mon poid. J'en profite pour te refaire le coup de la gorge, jusqu'au sang.

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