Pandore — la déesse de l'eau

Invité

• NOM :
Je me nomme Pandore. D'où provient cet étrange nom ? Je ne sais plus... Laissez-moi réfléchir; c'est flou dans mon esprit... Je me souviens, il me semble, que ma mère m'avait dit un jour, avant de m'endormir, que je portais le prénom d'une déesse grecque d'une grande beauté, celle de la terre et de la fécondité, « celle qui fait sortir les présents des profondeurs »... Oui, surment. Et je lui avais répondu, innocente : « Alors, je suis une déesse, maman ? ». Elle m'avait lancée un de ces sourires inoubliables avant de se rendre compte qu'il était rendu tard. Elle me souhaita de faire de beaux rêves et je fus emprisonné dans les bras de Morphée jusqu'au lendemain matin...
Ah, que de nostalgie, que de souvenir qui, jamais, ne s'effaceront... Jamais.
• SURNOM :
Eh bien, Pandy, sans doute. Oui, tout le monde me surnomme comme ça, ou presque. J'aime bien, en fait. C'est sûr, ça fait un peu surnom enfantin, rêveur, mais c'est ça qui fait tout le charme de celui-ci : il décrit parfaitement ma personnalité, ma façon d'être, ma façon d'agir, de pensée...
• ÂGE :
Je ne sais plus trop, ça fait longtemps que je ne compte plus... En tout cas, j'estime que je ne suis ni adolescente ni adulte; entre les deux, en l'occurence.
• SEXE :
Quelle question idiote, je suis un mâle, évidemment ! Pandore — la déesse de l'eau 923492

Sarcastique.
• TERRITOIRE :
La Plage, oui ! *O* ~~Pour rejoindre Paroro chéwiie et Caca d'amouur.~~

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• HISTOIRE :
Je vais effectivement essayer de ne pas faire un récit trop long, même si ça va être dur avec l'histoire que j'ai en tête... x)

Il était une fois moi, Pandore, personnage principale de cette ennuyeuse et looongue histoire. Je vais essayer de faire ça court, même si j'aurai très bien pu faire une centaine de lignes...

Je suis née d'une jument blanche comme la neige et d'un étalon noir comme le charbon. Comme vous avez pu le remarquer, j'ai hérité de la robe de ma mère, mais des yeux noirs d'ébène de mon père. En fait, ma maman est morte pendant mon enfance, ce qui a créé un certain raisonnement chez moi, une certaine... offense (notamment au niveau du syndrome de Peter Pan — cf. caractère). Après qu'elle ai rendue l'âme, j'ai réalisé à quel point j'avais été proche d'elle, et que cet événement qui a détruit ma vie n'était pas une si mauvaise chose, finalement. Bien sûr, j'aurais tant aimé mieux la connaître, passer du temps avec elle sur le bord de la plage de notre territoire, regarder les étoiles en sa compagnie, vivre avec elle, tout simplement... Mais, apparament, j'avais un tout autre destin : celui de ne plus jamais entendre sa douce voix... Je fus longtemps déprimé de son soudain décès, restant renfermé sur le monde, ne parlant plus, pleurant jour et nuit... En fait, j'étais beaucoup plus proche de ma mère que de mon père dans ce temps-là. Et c'est toujours le cas — ou presque — aujourd'hui.

Mon père, un étalon sévère mais au coeur tendre, n'en pouvait plus de me voir ainsi solitaire et muette. Je n'étais plus la petite fille unique qui vivait avec ses deux parents, heureuse comme tout. Non. Mon père, jugeant qu'il était préférable pour moi d'avoir la présence d'une mère dans ma vie, fut fidèle à une autre jument : ma belle-mère Il décida donc, « pour notre bien », de me trouver une nouvelle famille. De nous trouver une nouvelle famille. Et cela ne prit pas plus de temps que ça qu'une nouvelle jument et deux demi-frères plus vieux que moi de quelque années — des jumeaux, oui — entrèrent dans ma vie. Ma belle-mère semblait gentille et douce, mais je voyais bien qu'elle jouait la comédie, qu'elle jouait un jeu qu'elle souhaitait garder secret : elle me détestait profondément, c'était évident. Au tout début, je ne comprennais pas ce soudain froid qu'elle avait contre moi, mais j'en est conclu, après mûre réflexion, qu'elle était jalouse du lien que j'avais avec mon père. Je ne sais toujours pas pourquoi elle l'était d'ailleurs... Ce n'était pas comme si j'allais lui voler son amant; c'était mon père, tout de même. Mais je crois qu'elle voyait bien que celui-ci me préférait à elle, ce qu'elle supportait très mal. À chaque fois qu'il venait me voir pour me parler un peu, la marâtre n'hésitait guère à se mettre entre nous deux et à faire des calins à papa. Et, bien entendu, aucun étalon n'aurait pu résister au charme évident de la jeune jument. Eh oui, ma belle-mère n'avait peut-être pas mon âge, mais ce n'était pas loin que je la rattrapais déjà. Je fus donc rapidement mis à l'écart, rejeté par mon propre père — et ce, sans qu'il ne s'en rende vraiment compte — et par ma nouvelle famille.

Je rencontra aussi mes demi-frères. Enfin, je les appellais ainsi, mais ils n'avaient aucun lien avec moi, aucune parcelle de mon sang. Mais c'était plus simple pour tous de dire ça ainsi. Ils ne semblaient pas particulièrement menaçant, à première vu, mais cela ne leur prirent pas de temps avant qu'ils réalisent que j'étais une jument plutôt... jolie. Je ne vous le cacherais pas plus longtemps; c'est resté gravé dans ma mémoire toutes ces années sans jamais que je n'ose divulguer ce qu'ils me faisaient chaque soir : vous l'aurez sans doute deviné, ils me saillissaient de force. J'avais beau vouloir m'enfuir, crier à pleins poumons, personne ne semblait m'entendre. J'étais prisonnière de deux étalons malsains que je venais à peine de rencontrer. Je fus en quelque sorte... traumatisé. Je n'en parla à personne jusqu'à aujourd'hui, certaine que, de toute façon, on ne se soucierait pas de mes problèmes. Je suis donc restée silencieuse et je suis devenu l'ombre de moi-même. Je croyais n'être plus importante pour personne, n'être que le personnage secondaire de ma propre histoire...

Les années passèrent où rien ne changea vraiment. Je rencontrais de nouveaux chevaux, me faisait quelques amis, mais rien de très sérieux. Mes demi-frères me laissaient un peu plus de liberté et ma belle-mère me prennait pour son esclave lorsque mon père n'était pas là...
Puis, un jour, la goutte qui a fait déborder le vase : mon père mourut tragiquement. Il est allé rejoindre ma mère au paradis... Ce fut la nouvelle la plus bouleversante qui soit. J'ai pleuré toute les larmes de mon corps; je m'étais attaché à cet être naïf mais à la fois si adorable. Ce fut un choque plus grand encore que le décès de ma mère, étant donné que je comprennais mieux la situation dans laquelle j'étais. Je n'étais plus une pouliche désormais, mais une adolescente fière et mature. J'aurai tant voulu m'occuper de moi-même, après ça, mais mon territoire obligea ma belle-mère et mes deux demi-frères à me garder encore quelques années, le temps que je devienne assez adulte pour m'occuper de moi-même. Ce ne fut pas de gaieté de coeur qu'ils me prirent sous leur aile, je dois le dire. Et je suis alors devenu beaucoup plus rebelle que j'aurai cru pouvoir imaginer l'être. J'étais indépendante et je n'avais pas peur de dire ce que je pensais, ce qui créait beaucoup d'engueulades entre ma belle-mère et moi. Moi et mes demi-frères, ont entretennait une relation de haine intarrissable et on ne s'adressait même plus la parole... Une colère immense, intense m'habitait jour après jour; j'étais certaine à cent pour cent que c'était sa faute, à elle, la méchante jument Cruella qui me servait de mâratre, si mon père avait aussi rapidement périt. Je la détestais — non, je les détestais à un point que vous ne pouvez tout simplement pas concevoir. J'avais envie de mourir pour ne plus vivre ce que je devais subir à tout les jours. Oui, j'ai pensé à me suicider plus d'une fois : j'étais totalement accablé, démoralisé, abbatu; je ne savais plus où allait ma vie, si elle avait vraiment un sens, un but.

Je grandit comme tous chevaux, mon caractère changeant, ma façon de penser changeant... On découvrit la vérité quelques années plus tard, celle que ma belle-mère avait cachée à tous : elle l'avait tuée. Oui, elle avait tuée mon père. Elle fut bannit de notre territoire. De mon territoire. Et on entendit plus parler d'elle. Mes demi-frères, l'ayant apparament aidée dans ses plans machiavéliques, n'avouèrent pas avoir été complice, mais, les connaissant désormais plus que personne, je su rapidement qu'ils mentaient. Ils quittèrent les territoires de la Plage quelques mois plus tard, me laissant seul au monde dans cette grande contrée. Mais j'étais heureuse d'être devenu enfin libre de faire mes propres choix, comme une adulte qui avait apprit de ses erreurs et qui apprendrait sans doute encore de ceux-ci.
Aujourd'hui, tout ce que je souhaite, c'est de vivre une vie normal, simple, sans difficulté ni soucis. Juste d'être et de rester heureuse, à tout jamais...

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• CARACTÈRE :
Morphologie narrée par la narratrice elle-même, Pandore se jugeant incapable de se décrire dans les moindres détails. :')

Eh bien, eh bien... Que dire d'elle ? C'est une jument totalement unique, et ce, dans tout les sens du terme. Elle est toujours joyeuse, même un peu trop. Il est rare de la voir en colère ou chagrinée. Elle aime rire pour rien, raconter sa vie et fait parfois des blagues douteuses sans vraiment s'en rendre compte... Pandore est aussi un peu paranoïaque sur les bords : elle entend des voix dans sa tête qui semblerait, d'après ses dires, « lui dicter ce qu'elle doit faire, commenter ce qui l'entoure et l'influencer sur ses choix et ses paroles ». Personne ne sait si ce qu'elle dit est vraiment la vérité, même si on pourrait croire le contraire en voyant l'innocence même qui habite en elle. Car, oui, on a toujours reconnu Pandore comme la jument la plus honnête, la plus sincère du monde. Mentir, effectivement, ne semble pas faire partie de son vocabulaire. De toute façon, elle est tout simplement incapable de divulger la moindre fausseté... Pure tel un ange, me direz-vous ? Je n'en sais rien, seul vous pourrez juger de ça lorsque vous lui parlerez une première fois, puis une deuxième... Mais, si ce n'est pas un mensonge, ce peut très bien être sa folie inexpliquée qui prend rapidement le dessus... À ne pas confondre.

En parlant de voix plus haut, justement, Pandore répond souvent à cet être, cette illusion peut-être, qui habite en elle. De ce fait, beaucoup pourraît croire, à première vu, qu'elle se parle toute seule, qu'elle se donne des ordres et/ou qu'elle se fâche contre elle-même — même si c'est plutôt rare. Ça peut en rendre certains confus, mais pour Pandore, la dénuée de sens même, cette voix, cette... conscience est totalement logique. Elle n'a jamais vraiment expliquée pourquoi c'était logique à ses yeux, mais on insinuerait que son passé en serait pour quelque chose... Je n'en suis moi-même pas certaine, je dois l'admettre; c'est à suivre.

Oui, on ne peut y échapper, la charmante demoiselle est atteint d'un syndrome bien spécial, étrange : celui dit de Peter Pan. Si vous ne le connaissez pas — ~~bande d'inculte~~ —, ce syndrome fait en sorte que l'être en question refuse de devenir adulte et souhaite rester éternellement un enfant. De ce fait, Pandore a, depuis toute petite, toujours acquis le même caractère plutôt... enfantin, rieur, doux et joueur. Mais, dans l'ensemble, même si on peut croire que cela est un défaut mental ou je-ne-sais-quoi, cela n'affecte en aucun cas la sociabilité et l'intelligence de la jument. Parfois, d'ailleurs, elle semble si imprévisible que s'en est presque effrayant. Il faut dire, aussi, qu'elle change beaucoup d'un jour à l'autre. Bien sûr, ses approches avec les autres chevaux sont toujours — ou presque — amicale, mais on ne sait jamais ce qui pourraît réellement se cacher derrière ce sourire joyeux et ses yeux pétillants. Car, vous devez le savoir, Pandore n'a pas eu une vie des plus joyeuses. Et c'est bien pour ça qu'elle parle au passé : elle préférait oublier ces choses qui lui font encore si mal, qui la font pleurer, soir et nuit. Sa mère, son père, ses frères, elle... Vous savez, on a beau croire tout connaître de notre princesse, on ne sait jamais vraiment quel sentiment l'habite. Elle cache si bien son jeu; elle est si bonne comédienne... Elle peut sembler toujours heureuse à votre regard, mais son coeur va bien plus loin que ça... C'est lorsqu'elle devient soudainement nostalgique que tout ses anciens problèmes reviennent à la surface et que les larmes ont sitôt faient de venir et ont sitôt fait de partir dans les méandres de l'oubliettes, dans un simple changement de sujet, solution que Pandore n'hésite jamais à prendre lorsqu'on lui demande des questions bien trop... intime sur l'histoire de sa vie.

• AIME :
Aimer, ne pas aimer, blanc ou noir, noir ou blanc... N'y a-t-il jamais de gris en ce monde ? J'aime tout, voilà tout. Auparavant, j'aurais dit que je méprisais les épreuves de la vie. Mais, à bien y réfléchir, c'est ces épreuves qui ont fait que j'ai pu grandir mentalement, qui m'ont fait réalisé qu'elles devaient être là, qu'elles étaient cruciale dans une vie, aussi difficile soient-elles. Si ma mère n'avait jamais été... m... morte (voix tremblante), jamais, sans doute, je n'aurais été aussi proche d'elle que depuis qu'elle est partie. Et mes frères, que je déteste à un point que vous ne pouvez tout simplement pas imaginer... Pour ce qu'ils m'ont fait, bien entendu, la douleur qu'ils m'ont causés et les pleurs qui ne cessaient... J'ai presque mal au coeur de devoir vous révéler ma vie ainsi, mais j'en suis bien forcée, apparament. Mes frères, dont la vie m'importe peu aujourd'hui, m'ont appris qu'il existait en ce monde des êtres tout à fait exécrable et sans aucune pitié. Ils ne se sont pas privés pour me souiller, moi, jeune pouliche que j'étais... Après tout, je n'étais que leur soeur, seulement leur soeur, rien de très important à leur yeux...

En bref, j'aime tout...

• AIME PAS :
sauf mes frères, que je hais énormément, et tous les traits de caractère les plus ignobles et les plus horrible du monde. Je déteste la violence; je suis incapable de ne pas m'imposer lorsqu'une bataille entre deux chevaux semble vouloir commencer. Je suis pour la paix, comme la plupart d'entre nous, mais j'avoue exagérer parfois un peu trop ma "philosophie". Sinon, à part ça, je ne méprise rien en particulier. Je ne vois pas ce qui pourraît me dégoûter d'autre à part l'agissement de mes frères — que je ne conssidère d'ailleurs plus comme tel depuis bien longtemps maintenant — et la violence dans le monde. Si j'y réfléchie bien... non, je ne vois pas.

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• PUF : Turkey, yaah ! Pandore — la déesse de l'eau 425826

• COMMENT AS-TU CONNU CE FORUM ? Inscrite sur WOC, j'ai toujours connu l'existence de ce forum, étant en partenaire avec GS. Au tout début, j'hésitais beaucoup à m'inscrire, n'étant pas particulièrement habitué aux forums de chevaux. Mais Grany, me parlant tellement en bien de vous, a réussi à me convaincre à m'inscrire. Décembre 2008, moi et mes fesses nous nous ramennons sur le forum sous le nom de Fairy. C'était un personnage que j'adorais, avec une histoire qui aurait pu être longue, mais contre toutes attentes, j'ai déserté le forum, ayant une grosse panne d'inspi. Je regrète encore de ne pas avoir avertie mon absence, mon compte supprimé, bien entendu, après mon départ. Et puis, j'ouvre MSN, un soir plus ou moins par hasard, et voilà que Grany d'amoouur est connectée ! Je lui parle, elle me raconte comment GS est encore plus magnifique et actif qu'auparavant. Je n'hésite plus, me voilà, pour mettre un peu de ma propre ambiance sur un forum qui en a apparament déjà. Pandore — la déesse de l'eau 923492

Sérieusement, MAGNIFIQUE, EXTRAORDINAIRE, SUBLISSISME travail que vous avez fait. Le design est simple, mais j'adooore, c'est parfait comme ça, les membres ont l'air - SONT - supers et il y a tout les éléments pour m'inspirer : des RP libre et sans prise de tête, des membres acceuillants, un concept comme on les aimes tant et des signatures simples mais à la fois belles. Bravo à toute l'équipe, et je souhaite vraiment que GS vive encore longtemps ! Pandore — la déesse de l'eau 571640

• PREUVES DU RÈGLEMENT : OK BABEE

Invité

J'ai hâte de voir à quoi va ressembler ton histoire et ton caractère... Pandore — la déesse de l'eau 571640

J'adore comment tu as soigné ta présentation I love you

Rebienvenue

Invité

Mouahaha. Mercii beaucoup ! : D
En fait, j'ai une petite idée derrière la tête pour son caractère assez... spécial, je dois dire. Je n'ai effectivement pas l'intention de faire dans l'habituel : elle sera sans doute un peu folle sur les bords, peut-être même aura-t-elle le syndrome dit Peter Pan, qui refuse de devenir adulte et souhaite rester éternellement un enfant. J'ai l'intention de faire d'elle une jument légèrement parano, qui entend des voix dans sa tête et qui parle souvent toute seule. x3 Un peu beaucoup bizarre, quoi, qui rit parfois pour rien et qu'on ne comprend pas toujours. Pandore — la déesse de l'eau 653621

Sinon, pour l'histoire, j'y réfléchie encore... ; )

Invité

Elle a pas été dur à convaincre.
Niiiiiiiiiiiiiiiiiiwiiiiiiiiiieeeuh
J'aime déjà ton persow

Invité

Invité

C'est joli à voir tout cela =O

I'm choquée lol

Sinon bienvenue et je te souhaites un bon jeu q:

Invité

OMG c'est tout simplement troow troow cute

Haan j'ai jamais vu ça, c'est sublissime!
Topic :D

Invité

Ah ben, merci beaucoup, vous allez me faire pleurer, les gens. Pandore — la déesse de l'eau 258324

~~Je sais que c'est magnifique, mais quand même.~~ J'accepte avec plaisir un topic, Ikékette. *O* Mouahaha.

Sinon, un petit truc : j'espère que la photo d'ma jument est pas trop moderne, parce que je l'adore. : o

Invité

'Archi! Mais t'arrive en retard, ce surnom est d'jà sous copyright
J'lol heiin

Invité

FAIRYYYYYYYYY Pandore — la déesse de l'eau 4437

Invité

ça te dis que j'sois l'un de ses frères? Par contre il a perdu la mémoire et enfin bon on peut voir cela en MP si ça t'intéresses.

Invité

Ikéké :

Paroro :

Amour :

demi

EDIT :

Invité

Invité

Weeny a écrit:

Invité

Merciiii beaucoup, beaucoup ! : D J'ai hâte de joujou' ! *o* (L)

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