> Aveuglé & sourd.

Dans l'ombre, deux grand yeux sombre brillait. Sa robe caché par les profondeurs de cette caverne, le frison soupira longuement tout en regardant l'entrée. Un silence de mort régnait.

À cette instant précis, le parfum d'une jument attira légèrement l'attention du frison. Il pointa curieusement les oreilles, attentif. Puis, elle entra. Une ombre entra dans la caverne. Son corps était majestueusement dessiné avec précision, son visage vieillis par le temps l'éblouissait, ses traits féminins et toujours aussi prononcé l'aveuglait presque et cette musculature. Il fronça légèrement les sourcils et plaqua lentement les oreilles. Cette jument semblait puissante, de longues cicatrices avaient leur place sur son corps et ce regard... Il ne l'oublierait jamais. Le mâle restait stable. Il avait la tête fièrement levé et son regard ruisselait, posé sur cette femelle qu'il saurait bientôt son nom. Lui aussi, avait parcouru le désert... Lorsqu'il en avait été le roi.

Par ce temps glaciale, lorsque le mâle respirait, une légère brise caressait l'obscurité. Cette jument, à quelques mètres de lui, avait posé son regard sur lui. Will ne bougeait pas, il la fixait avec intensité. Il était grand, robuste et d'une musculature frappante. Au soleil, sa robe brillait les éclats et les cicatrices s'imposait sur son corps comme sur son visage. Il pouvait respirer avec vivacité le parfum de cette jument tellement elle était proche... Elle était si intrigante, si attachante... Il ne comprenait pas.. Son coeur lui disait de suivre cette jument qu'il ne conaissait pas... Même qu'il ne conaissait pas son nom... Rien, mais la voie le disait ainsi. Ce qu'il appréciait des arabes, c'étais leur résistance exceptionnelle à l'effort prolongé et leur endurance frappante. Cette race était voué au rude climat désertique et à la guerre. Willow admirait ses chevaux... Son regard intélligent brillait et il se redressa légèrement.

Hautain, le grand mâle noir toisa la jument. Encore, il ne pouvait constater les cicatrices entières contre le corps de cette jument.. De son côté, une longues marque au niveau de sa gorge avait été marqué lorsqu'on avait essayer de le tuer... Les traces restaient vraisemblablement marqué à vie.. De plus, une légère cicatrice au niveau de ses naseaux avait gagner sa place lorsqu'on avait tenter de le maîtriser... Le frison était lui aussi une vrai bête des combats et du sang... Il ne conaissait pas vraiment le passé de cette jument mais juste à les regarder, se ressemblait-il ? Le sons de sa voie vibra lorsqu'elle s'éleva. Sonore, rauque et profonde, il souffla : - Mon nom est Willow.. Dit-il laissant tomber le silence..

Son nom résonna longuement aux oreilles du frison. Il était face à cette jument, son nom était souvent sortis de la bouche des chevaux. Comme étant une vive meurtrière sans coeur, une combattante incontrôlable ayant tuer plusieurs chevaux comme des poulains et ainsi, prenant une place importante pour Galop-Sauvage. Sorely était la jument ayant marqué une grande partie des terres de GS, une légende. Pourtant, il se voyait presque aussi bien. Une chaleur insupportable sortait du corps des deux équidés, leur regard avec une hostilité indéchiffrable semblait imperturbable et leur puissance tout au long de leur corps... Il était un équidé puissant aux yeux des chevaux, comme elle l'était sûrement. Willow fit quelques pas dans sa direction, le sons de ses sabots claquère lourdement sur la pierre froide. - Je sais qui tu es.. Dit-il de sa voie sourde... Aucune lueur ne brillait dans son regard et son coeur se sera... Cette jument, c'étais la mère d'Utopie... Celle pour qui il avait donner son coeur.

( Omg, sa fait tellement longtemps )

En effet, Willow avait cette carrure frappante et gigantesque. Tel que ce fameux Feelings, ayant régner dans le désert plusieurs années en compagnie de sa belle. Il ne savait pas vraiment qui était ce mâle et jamais il en avait entendu parlé... Ce nom vennait de beaucoup trop loin, tout semblait oublié.
Le frison posa ses yeux dans les ciens. Le corps d'Utopie semblait ne pas avoir disparu de son esprit, de son coeur... Les formes, son regard, son amour. Pour elle, tout semblait toujours très présent... Il en était tombé fou amoureux, malgré qu'elle était toujours n'était plus là... Il ne savait même pas si elle était mortre, rien... Elle l'avait de nouveau embandonné. - La mère de celle que j'aime... Utopie. Juste de prononcer ce nom, haut la voie... Son souffle se coupa. Il vennait de se rendre compte que depuis plusieurs années, il n'avait pas dit ce prénom... Will sera la mâchoire lorsque son coeur se sera et que sa gorge se noua... Mais le frison ne laissa rien parrêtre... Rien du tout.. Les souvenirs le hantait, il détestait y penser.

Willow resta de marbre sur les paroles de Sorely. Son regard vitreux fixait toujours ceux de cette jument. Elle avait raison et personne ne pouvait le nié. Le jour où il avait rencontrer Utopie, avait été sur la plage et cela avait été pour eux le coup de foudre. Juste par les yeux, le temps et les circonstances... Ils étaient tombés amoureux. Il avait été longtemps infidèle envers elle et un jour, elle revint. Ce fût la crise mais elle comprit. Avec ses longues absences, elle était si amoureuse et lui aussi, d'ailleurs. À partir de ce jour, le beau mâle noir régna sur le désert sans la compagnie de sa belle, ni de sa petite fille. Il resta le genre de mâle distant envers les autres femelle, ne cherchant plus à commettre cette erreur. Puis, de nouveau, elle fit son apparition avec Balsamine. Elle avait grandit, elle avait changé. C'est à cause d'elle que sa vie changea, lorsqu'elle lui avoua la trahison de Kana. Son allié. Puis, de nouveau, sa disparition ce fût. Tout sa vie, Will resta amoureux et il l'était toujours. Seul sur Gs, ne sachant pas où elle était... Ses muscles se crispèrent et il ronfla les naseaux, elle reviendra. Une étincelle brillait au plus profond de ses prunelles, celle de l'espoir. Malgré que Sorely, avait raison. Mais Will était beaucoup plus fort que ce sentiment d'embandon. - Ma vie est basé presque sans elle. Dit-il finalement, laissant sa voie résonner longuement.

On pouvait presque voir un sourire léger au coin de ses lèvre. Encore une fois, elle avait raison. Utopie et Balsamine reviendront, il le savait au plus profond de lui même. Il suiva lentement la jument, faisant claquer ses sabots contre la roche. Puis, le soleil vint faire flamboyer sa robe obscure. Ses muscles caressait en entier son corps magnifique et ses crins claquère sur son encolure. Il pouvait voir la cicatrice au niveau de l'oeil de la jument. Longue et profonde. Il la contempla longuement puis, Sorely s'élança. Il chuchota pour lui même ses quelques mots : - Oui, tu as raison... Le désert est magnifique. Il s'élença ainsi. Il propulsa son poids vers l'avant, fracassant le sable de ses sabots. Le frison allongea ses foulées et courba sa majestueuse encore, ronflant bruyamment les naseaux. De plus en plus, il s'approchait de l'arabe. Le mâle allongea de nouveau ses foulées, sentant son coeur chavirer dans sa poitrine. Courir sur ce territoire, c'étais la liberté. Il s'approchait de plus en plus de l'épaule de Sorely, galopant à ses côté. Le mâle jeta un oeil curieux dans sa direction, ronflant les naseaux et tentant de la dépasser.