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 |  Dim 20 Juin 2010 - 19:57 | |
| Le pas rapide, Jack marchaient entre les arbres se rendant compte qu'il était perdu. De là où il était, en levant les yeux au ciel, il pouvait apercevait la lune qui semblait le narguer et lui reprocher ses fautes. Il recula d'un pas, si même elle le regardait avec un air accusateur...Il s'élança à toute allure aussi loin que possible se cacher de ces reproches. Il avait l'impression que son cœur allait exploser tellement il battait fort dans sa poitrine. Il avait l'impression de manquer d'air. Le bruit des gouttes qui tombent. Il est soudain recouvert de sang. Il revoit ce regard accusateur d'une victime innocente qui lui reproche sans cesse sa faute. Cette faute. Doucement il entend cette petit voix innocente dans sa tête qui lui dit qu'il n'aurais jamais dus faire ça, qui le comparait à un monstre et d'autres voix viennent s'ajouter. Jack s'écroula, butant dans sa course désespérée contre un caillou, sentant ses yeux s'humidifiaient.
« Je suis... désolé...» |
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| | Dim 20 Juin 2010 - 21:15 | |
| La louve rodait inlassablement dans les bois. Elle venait régulièrement dans cette foret. C'était un endroit paisible ou il n'y avait pas souvent de monde. La noire marchait lentement entre les arbres, observant avec attention chaque endroit ou elle posait ses sabots. Ici la lumière était douce et parfois même inexistante, ce que la louve appréciait même. Sa robe noire se camouflait très bien dans les ténèbres de cette forêt de plus elle était de nature silencieuse. Ce fut donc avec surprise qu'elle s'arreta net au milieu de la forêt. Au sol allongeait de tout son long, un étalon. Sa robe était clair, palomino pour être exacte. Ses yeux ? Cachés sous une multitude de mèches blonde qui composaient sa criniere. Pleurait-il ? La louve s'approcha curieuse toujours aussi silencieusement et alongeant son encolure vint souffler sur son épaule. |
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| | Mar 22 Juin 2010 - 19:20 | |
| Il sentit sur son épaule un souffle chaud qui fit tressaillir tous les muscles de son corps, se rendant compte d'une soudaine présence. Il ne l'avait ni vu, ni entendu s'approcher et n'avait pas perçu sa respiration. Tentant d'essuyer les larmes qui s'échappaient furtivement de ses yeux, il leva le regard, les traits soudain redevenu impassible, le regard fier. Soudain il avait fait abstraction de toute douleur, enfouissant ce qui pouvait le ronger au plus profond de lui-même. Une inconnue le trouvait à présent les yeux humides dans une forêt presque noire, à demi allongé, seul. Ses dents se serrèrent en imaginant ce sentiment de pitié qu'elle pouvait éprouver pour lui en cet instant mais il avait toujours méprisé qu'on puisse avoir pitié de quelqu'un. Le blond se releva, fixant inconnue qu'il distinguait avec peine puisqu'elle était presque aussi noire que l'obscurité de cette forêt. |
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