Hey tout le monde!
Voila j'écris quelques histoires de temps en temps et je voudrais savoir se que vous pensez de celle que j'ai
Voici la 1ere:
L'avis de passionné
On souffre plus, que l'on est aimer. Cela en vaut vraiment la peine ?
Toujours aimer;
Je ne puis rester loin de toi plus longtemps. Je t'aime tellement & je ne veux plus souffrir parceque tu es loin de moi. Alors, j'ai commencer à te chercher, à marcher, à espérer. Puis je t'ai trouver, tu étais là devant moi, un simple coup d'oeil & j'ai revécu. Une chose s'est dessiner sur mes levres, je crois qu'on appelle sa un sourire. & tout sa grâce à toi.
Je t'ai pris dans mes bras, je t'ai enlasser, serrer. Je ne voulais plus que tu partes loin de moi. Tu ne bougeais pas, , tu ne disais plus un mot. Je croyais que c'était réciproque, mais j'ai mal cru. . .
Toujours souffrir;
Tu ma regardé , tu ma détaillé & avec un sourire, tu ma rejeté. Comment as-tu pu me sourire en me disant que je n'étais rien pour toi, que je ne te méritais pas. Que toi, tu étais trop bien pour moi, & que jamais au grand jamais tu ne serais à moi. A cet instant tout c'est écroulé. Tous mes rêves se sont brisés. Je sentais mon coeur brulé dans ma poitrine, il ne battait plus. Comme si tu me l'avais pris & l'avait jeter sans regret dans un ravin. A présent il ne vit plus , je n'existe plus dans ce monde si étrange.
Plus aucunes émotions ne se montre dans mes yeux, je ne pleure pas, pas pour un être qui en à rien à faire de moi. Je n'ai aucun remord de t'avoir aimer, mais toi tu en auras pour ne pas m'avoir aimer. Tu peux rire autant que tu le veux , mais tout se paye, & tout se casse.
Toujours mourir;
Tu es maintenant à moi, tu m'appartiens. Si tu ne veux pas être avec moi alors je serais , moi, avec toi. De la vie jusqu'à la mort, notre mort.
Je t'ai enlasser, & je ne t'ai plus laché. Je t'ai emmener dans un endroit secret, mon endroit secret , là ou je m'évade. & tu sera & tu es la seul personne qui sera venu ici.
Pourquoi tu as l'air si effrayer ? Tu n'as pas à avoir peur, je suis là pour toi, avec toi. On s'endormira ensemble, pour l'éternité ne t'inquiète pas pour sa je m'en occupe.
Ne cris pas on pourrait entendre . Je suis donc obligé de t'attacher . Mais tu ne souis plus, je vais être obliger de t'en dessiner un moi-même, à ma façon. Regarde moi, je souris tout le temps, tu feras comme moi, on aura le même sourire.
Un ange doit toujours sourire & toi tu es un ange , mais un ange qui a perdue ses ailes . Ou les a-tu mises ? Tu as du les perdre en descendant sur terre, pour venir à moi. Puisque tu as perdu tes ailes pour moi, je vais te redonner ton sourire.
Je prend entre mes mains, une fine lame de rasoir. Tu me regarde avec frayeur, pourquoi donc ? Il ne faut pas avoir peur de sourire c'est une chose humaine, normale. Je l'approche délicatement de tes commissures de levre, là tu te crispe, ne fais pas sa tu vas avoir encore plus mal sinon. Voila que la lame caresse ta peau , pour dessiner comme sur une feuille de papier un joli sourire: le sourire de l'ange.
Maintenant que tu as un sourire, tu ne dois plus montrer ta souffrance, même si ton coeur est dans une grande douleur. Regarde moi, je souffre de l'intèrieur mais je ne le montre pas, je suis une personne normale & qui aime un ange. Tu es peut être sans aile mais il te reste le sourire que je t'ai donner, notre sourire en quelque sorte, sois en fière, moi j'en suis plutôt assez fière, je l'ai bien reussis cette fois. Ce n'est pas comme sur le mien, qui fait un sourire a l'envers.
Je ne comprends plus rien, pendant que je te faisais ton sourire, mais il faut que tu te réveille, ce n'est pas le moment de t'endormir. Je veux que tu me regarde dans les yeux, je veux que la derniere personne que tu vois, le dernier visage avant ta mort soit le mien. J'essaye de te réveiller avec des baisers, sur la joue, puis dans ton cou si doux. Mais tu as essayer de m'attraper pour t'enfuir. Rappelle toi, que tu ne peux plus partir, tu as moi à présent. Puisque tu as essayé de me faire du mal, encore une fois, tu vas devoir souffrir encore une fois. Il faut bien payer le mal qu'on fait aux autres. N'est se pas ?
Je prends tes mains, elles sont si douces à caresser, si délicate, on voit qu'elles sont fragiles. Je te les prends l'une après l'autre & je te les plonge dans un liquide qui te les ronges. Ton sourire s'intensifi, ton sang coule le long de tes joues, je te l'enleve délicatement avec mes mains.Je ne veux pas que tu saigne . Maintenant tes mains ne sont plus si belles qu'avant, ta chaire est devenue ta peau, tu n'as plus de beaux ongles. Peut être à cause de ce liquide qui ta rongée . & ai-tu rongé à l'intèrieur? Ton coeur est bouffé. Mais tu es à moi , & je te promets que tu ne souffrira pas longtemps.
Pourquoi pleure-tu tout d'un coup ? Tu ne répond pas à cette question mais tu me suppli de te relacher, de te laisser partir loin de moi. Non, je n'ai pas fait tout ce chemin pour rien, je te garderai jusqu'à se qu'on emette notre dernier souffle, ensemble. Main dans la main. Tu recommence à pleurer, je te dépose à nouveau un doux baiser, mais tu pleure.
J'ai une idée, il ne faut pas pleurer pour rien,tu pleure parceque tu vas mourir mais dis toi que tout le monde meurt un jour ou l'autre. & toi tu vas avoir la chance de mourir avec moi, avec la personne qui t'aime.
Je prend le liquide précédent & te le reverse dans tes yeux couleur emeraude, ces perles qui me font fondre. Je vois ce liquide qui te coule dans tes prunelles. Tu te remet à pleurer mais pas des larmes habituelles, ce sont des larmes de sang, elles coulent le long de tes joues & tout ce spectacle me fascine, comme un enfant devant un spectacle de marionnette. Je suis comme un enfant en extase devant toi. Je continu à te regarder, tu es assises, attacher, tu pleure, mais tu ne cris plus. Mais tes larmes continuent de couler, tes yeux sont fermés. Je te les ouvres pour que tu me vois, pour que tu vois que je suis là, à a côté de toi. Tes yeux s'incrustent dans les miens, ils sont rouges , ils sont remplis de sang comme mon coeur remplit de bohneur. Les pierres que tu as en guise d'oeil, ressorte grâce au sang qui s'est formé tout autour.
Cette image que j'ai de toi est magnifique. Comme dit le dicton << quand on veut, on peut. Donc je te veux, je peux >> & ce dicton est vrai. A présent; tu es à moi , tu m'appartiens, ma créature, mon idile, mon fatasme. Pour que nous soyons au même niveau, nous allons nous couper les cheveux. Les tiens sont magnifiques. Tout d'abord je coupe les miens. Puis je coupe les tiens, avec délicatesse. je commence à voir ton crâne, tu recommence à crier, je finis se que je suis en train de faire puis je repprend la lame si aiguisée, & je t'entaille le crâne doucement. Je vois ton sang coulé, le long de tes joues de ton cou. J'attrape quelques gouttes, ton sang est délicieux, il est sucré comme toi. Il a le goût de ta personnalité. Il te va bien.
Serais-ce le sang, le point faible de notre personnalité ? Celui qui nous defini en quelques gouttes ? Tu pleure toujours du sang, je prend un morceau de papier tranchant, et je t'essui avec celui-ci , tes joues s'ouvrent un peu plus .
Il est maintenant très tard, il fait nuit, la lune es haute dans le ciel. & tu pleure toujours, tu sens que l'heure de notre sentence approche. C'est bien à cette heure là que j'ai décidé que nous allions s'en aller, loin de se monde de tarer, & pour s'aimer à tout jamais.
Les aiguilles sont prêtent, dans ses aiguilles, il y a le liquide si précieux qui nous emmenera jusqu'au cieux. Ce precieux liquide qui va nous reunire. Je prend ton bras délicatement, te le caresse une derniere fois, te déposé un baiser sur le dos de ta mains, caresse tes veines violettes & t'implante l'aiguille. Je vois le liquide coulé. Tu me regarde & me suppli d'arreter, mais désolé mon ange, mais mon coeur me suppli de continuer & c'est lui qui gagne le combat. L'aiguille est maintenant vide, tu essaye de resister mais c'est impossible tu vas t'en aller, tu vas mourir, mais je vais te suivre, pars mais attend moi avant de monter vers ce qu'on appelle le "paradis". Parceque je ne serai au paradis qu'avec toi. Tu t'endors & tu ne te reveillera plus, tu n'as plus de pou, ton coeur s'est arreter de respirer.
Je te dépose un baiser, ton corps commence à être froid. Car les ténèbres t'on emporter & ils vont bientôt faire de même avec moi.
La deuxieme aiguille est pour moi, je t'ai promit qu'on mourrai ensemble & je tiens toujours mes paroles. Je n'hésite pas car je sais que je vais te rejoindre, j'implente directement le produit dans mes vaines. C'est à mon tour de m'endormir doucement & de devenir froid, pour te rejoindre, mon ange dans les cieux. Je revois cette image, ensemble , tous les deux assient mains dans la main. Inerte, Adieux ou plutôt a tout de suite.
Je t'aime . . .
Entre le mot sourire & le mot mourir il n'y a que deux lettres qui changent . . .
Merci a ceux qui vont donner leur avis
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Dim 15 Mai 2011 - 14:15
