❀ if you want a cake, give me a cup, cake. |S|

Je trottait joyeusement dans le coin, heureuse de vivre. Mon ombre se faisait gracieuse, et j'en étais contente. Contente. Libre. Heureuse.

• Je errais dans un territoire connu de cet abruti de Samuraï qui était bel et bien mon ex, j'avais les larmes aux yeux, prête à m’effondrer, j'avais tout foiré.

Ahh, c'est vraiment romantique comme endroit. Oh, tiens. Un odeur. De ... femelle. Ah, voilà la source. Je marche doucement et sereinement dans sa direction, puis je vois une bombasse baie. Les yeux brillants. Elle pleure ? «Je peux vous ... aider ?» demande ai-je timidement. Ah, je me sens pas hyper belle d'un coup.

• Une personne charmente apparait face à moi et désormais, je relève la tête, mes yeux noirs-marrons emplis désormais que de larmes de tristesses.
- Non, mademoiselle, profitez de votre vie, personne ne peux m'aider.
Un petit sourire apparut sur mon visage mais se sourire était avec une grande pointe de tristesse. Comment une jument aussi belle qu'elle ne pouvait pas être accompagnée ?

Mais c'est impossible, je peux l'aider !Il ne faut pas qu'une aussi belle jument soit triste comme ça ! «Si, je le peux, dites moi tout.» Oulà ! Je me lance dans une bien étrange aventure ! Je vais faire la psy !

• Future psy mademoiselle, mais moi, future patiente ! J'étais déprimé car j'étais séparée de : Lui ...
- Ah ... Comment pourriez-vous comprendre, vous devriez plutôt profitez de la vie plutôt que d'occuper des conne comme moi ...

«Eh bah, vous aussi tiens! Belles comme vous êtes, je suis sûre c'est pas le premier, ni le dernier venu!» J'étais déterminée à lui faire changer les idées. Je lui fit signe de me suivre. Et si elle voulait pas me suivre, je la pousserai.

- Justement, ce sont bien eux qui me font verser des larmes ...
Elle, elle part, mais moi, je ne la suit pas. Je ne voulais pas bouger, il faudrait réellement vouloir être déterminé pour me changer de lieu.

«Bon eh bien ...» oui je la pousse, qu'elle soit contente ou non. Pour aller où ?! Ca je ne le sais, mais là, je veux la faire bouger .

Et le pire c'est qu'elle venait me bouger les fesses cette folle. Heureusement que je suis gentille sinon je lui aurais déjà décoller un coup de sabot dans le poitrail. Je n'étais pas méchante bien heureusement mais si j'étais de très mauvais poil elle l'aurait sentit mon pied.
- Bon ok ... Je te suis ... fis-je comme OBLIGER de la suivre bêtement.