Jacuzzi //W//

elle s'approche de lui, docile bien qu'imprévisible. au fond d'elle, une petite partie hésite mais après tout.. pourquoi pas ? qu'aurait-elle à se reprocher de vouloir se changer les idées ? elle ne fait de mal à personne, sinon à elle, sinon à son amour-propre, peut-être. ainsi, sûrement renforce-t-elle son idée que l'amour ne vaut rien. qu'elle n'a pas besoin de ça pour vivre. elle l'effleure, se rapprochant jusqu'à créer le contact. ses yeux immenses plongent dans les siens avant de s'en détourner, ses naseaux brûlant frôlant son épaule, son encolure, jusqu'à sa nuque.

Winter approche doucement ses naseaux et effleure l'encolure de la jument avec précaution. Il l'a sait sauvage et indomptable, et il ne cesse de se demander si encore une fois, elle le mène en bateau. Pourtant, cette fois ci, elle semble beaucoup plus docile qu'à l'accoutumer. Il arrive à l'approcher de près sans se prendre un coup de dent. Ses naseaux glissent le long du dos de la jument, il l'a mordille légèrement pour la chauffer doucement.

elle ferme les yeux pour mieux se plonger dans le moment. autant se laisser faire et profiter, non ? décontractée, c'est entièrement détendue qu'elle ronronne presque sous les caresses du mâle. peut-être qu'elle s'en voudra après, peut-être pas, pourquoi se poser des questions, d'ailleurs ? elle se déconnecte complètement, se rapprochant de lui pour laisser leurs corps entrer en contact. avec l'eau, ça semble être doux et fluide.

Jusqu'à présent, Winterfell ressemblait à un gros tas maladroit. Mais quand il s'agit de passer à l'action, l'étalon retrouve tout ou partie de sa lucidité. Il se redresse légèrement et dépose une multitude de baiser papillon le long de l'échine de la femelle, alternant entre baiser frivole et pincement vif. Avec assurance, et méprise, il glisse dans le creux de ses reins.

Elle se laisse faire, en bonne reine Les caresses et baisers de l'étalon lui plaisent, elle ferme les yeux, soupirant doucement. Elle ne fait pas un effort pour lui rendre la pareille, pas encore en tout cas, se contentant pour l'instant de profiter simplement

Mais Winter s'en fiche bien qu'on le caresse, lui ce qui l’intéresse c'est l'acte en lui même. Il compte bien faire profiter la femelle jusqu'à ce qu'elle lui laisse libre accès à son intimité si désirée. L'étalon continue d'embrasser Lovojka, le long du cou et derrière l'oreille. Il ne s'approche pas de la croupe pour le moment, il prend son temps.

et ça lui va très bien de ne rien devoir donner en retour la lionne n'a ni l'âme ni le coeur de donner quoi que ce soit en ce moment. alors, si elle peut recevoir gratuitement, autant en profiter donner, maintenant, ça serait mentir. elle deviendrait sûrement mauvaise, agressive, retrouvant son côté sauvage. alors, elle préfère se complaire dans ce rôle-là elle rouvre les yeux, l'observant faire jusqu'à-ce qu'il aille derrière ses oreilles. par un vieux réflexe sûrement, elle tressaille, là où son oreille gauche est arrachée et qu'il n'en reste qu'un creux.

Winterfell la sent tressaillir lorsqu'il lui effleure l'oreille, il arrête immédiatement pour ne pas la contrarier davantage, à défaut, il s'approche du garrot. Là il ne peut pas se tromper, tout les chevaux aiment bien ça. Il grattouille la base de l'épaule de la jument s'en appliquant autant que possible.

elle se détend de nouveau rapidement, préférant qu'on ne touche pas à ses amputations de guerre elle tend l'encolure pour faire de même avec son garrot, par pur réflexe peut-être.

Grr.. il a touché un point sensible. Très satisfait, l'étalon se laisse caresser aussi. Même si les caresses de la jument sont assez... brutales, il s'en contentera. Progressivement, ses lèvres dévient vers le milieu du dos.

elle gesticule un peu, se lassant. elle n'a pas l'habitude que ça prenne aussi longtemps avant de commencer la seule fois où c'était si patient, c'était avec asmund. et elle n'a pas envie de se rappeler ça. pas envie de l'associer à ce moment. de se souvenir de son corps contre le sien. elle envoie l'encolure derrière-elle, mordillant un peu celle de winterfell pour lui dire de se bouger les fesses

Et c'est cet indice précis que Winterfell attendait. Il voulait qu'elle s'impatiente, que le désir grimpe. L'étalon remue la queue (celle à poil lol) prestement, et s'approche de la croupe de la jument. Il grattouille la base de sa queue puis passe son museau en dessous. Il se met à lécher doucement. C'est étrange ça n'a pas le même goût que lorsque les juments sont en chaleur. Il ronfle des naseaux doucement, impatient lui aussi.

Ah, enfin il a compris ! Elle tourne la tête vers lui, posant sur l'étalon son regard noir et profond qui n'a pas changé malgré l'alcool bu. Elle le fixe avec insistance, panachant sa queue pour lui laisser la voie libre.

Alors plus d'hésitation, l'étalon place dans le dos de la demoiselle avant de se hisser sur son dos. Il cramponne la jument fermement au garrot et se met au travail..... mais.... rien ne se passe. L'étalon essaye, mais en vain. Au bout de quelques longues secondes infructueuses, il se laisse retomber sur ses pieds, surpris. " Je comprends pas, ça marche d'habitude. " Il jette un bref coup d'oeil à son entrejambe, son membre viril est aussi minuscule qu'un vers de terre. " Mhm.. il doit pas aimer l'alcool... " constate t il, extrêmement frustré et déçu.

Déçue, la jument s'écarte pour lui faire fasse, ne cachant pas sa frustration avec un long soupir bruyant. Elle pose sur lui un regard un peu las. Tout ça pour ça ? ¬¬ fait-elle, un peu sèche. Elle se laisse retomber dans l'eau, maugréant dans sa barbe avant de relever de nouveau la tête vers lui. Décidément, tu m'ajouteras pas à ton tableau de chasse, fait-elle, plus moqueuse que rancunière.