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 |  Lun 19 Juil 2010 - 22:30 | |
| Alors que le soleil venait réchauffer l'immensité d'herbe, Valentina broutait l'herbe verte. C'était un délice que la jument savourait à chaque bouchée, pourtant toujours très prudente, elle ne pouvait s'empêcher de relever régulièrement la tête afin de vérifier qu'elle était toujours seule. |
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| | Mer 21 Juil 2010 - 2:12 | |
| Et malheureusement pour cette jolie crème , quand la Dame Noire vagabondait dans les alentours on restait rarement seul . Et comme le dit le dicton ; Vaut mieux être seul que mal accompagné . Et cette expression convenait parfaitement aux individus qui avait la chance ou malchance de tomber sur Enough .
L'imposante silhouette noire semblait se diriger vers la crème .. |
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| | Jeu 22 Juil 2010 - 20:33 | |
| La bouche de la jeunette était pleine d'herbe quand soudain, elle remarqua la silhouette imposante d'une jument noire. Toujours peu confiante avec les inconnus, Valentina se redressa et pointa ses oreilles en avant sans savoir vraiment comment réagir. |
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| | Jeu 22 Juil 2010 - 22:47 | |
| Pour l'instant Enough ne montrait rien du danger qu'elle pouvait représenter et se contenta d'un mince sourire presque amical . La frisonne continua sa démarche ténébreuse proche , très proche de la crème . Son museau s'approcha lentement du sien alors que son souffle rauque résonnait dans le silence peusant . Et d'un geste clair , net et précis , la noiraude récupéra plusieurs bruns d'herbe figés dans la bouche de l'inconnue avant de légèrement se cabrer et de se retourner étouffant un rire amusé . |
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| | Ven 23 Juil 2010 - 0:10 | |
| Face à ces attitudes qui semblaient tout à fait très étrange pour Valentina, la jeunette recula de quelques pas avec un air plutôt figé sur la jument. Et la vérité était telle que la palomino ne savait pas comment réagir à cette jument qui ne lui inspirait pas vraiment confiance. |
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| | Ven 23 Juil 2010 - 0:22 | |
| Enough se retourna pour se retrouver une nouvelle fois face à la jeunette . Voyant que celle ci recula , dans un léger bond en avant , la frisonne reprit le trot quelques secondes , le temps de se retrouver perpendiculaire à la crème , plaquée contre ses postérieurs , comme pour la bloquer . Suite à sa , une voix calme et posée sortit de la bouche de la noiraude ; " Et bé et bé et bé . Où vas-tu comme ça mon enfant ? " |
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