|| Robin challenge for the lands of the South || Seth (Combat territorial)

Il faisait jour, le soleil brillait agréablement sur les terres du Midi et le vent était doux, ce qui enchantait bien le mastodonte qui avançait très lentement sur le territoire. Le ciel était submergé de nuages, distancés les uns des autres et après quelques minutes de marche, Seth s'arrêta près de la vague de Pierre. L'étalon à la robe noir s'immobilisa, droit et imposant, pour finalement hennir afin d'avertir la dominante de ces terres de sa présence en ces lieux. Ses yeux se posèrent devant lui, sachant que la demoiselle arriverait par là et son visage était d'un sérieux effrayant. Ce défi ne serait probablement pas de tout repos et même s'il s'agissait d'une jument, le massif mâle qu'il était ne rebrousserait pas chemin. Robin était devenue dominante, alors cette inconnue devait se préparer à toute éventualité et aujourd'hui, cela en était une, d'ailleurs.

Le mastodonte était patient, il observait les environs silencieusement et calmement, sans aucune nervosité, après tout, l'étalon avait vécu des situations bien plus pire que celle-ci. Alors, après plusieurs minutes d'attente, une silhouette commença à se dessiner au loin et ne sachant pas trop si un sourire était adéquat pour ce genre d'événements, le grand mâle préféra s'abstenir. Donc, la dominante arriva enfin devant lui et avec respect, le noiraud s'inclina, gentiment. Le vétéran connaissait les bonnes manières et même si c'était pour un combat qui déterminerait le futur dominant de ces terres, le gaillard qu'il était voulait montrer à la jument qu'il n'était tout de même pas un salopard.
_ Bonjour! Je suis heureux de voir que vous avez répondu à mon appel. lâcha-t-il, avec un ton doux et rauque, malgré tout.
Donc, à ce moment, Seth préféra laisser la femelle décider de la suite et comment procéder, lui, il patienterait tout le temps qui faudra. Défier la grise était quelque chose d'important pour lui et même s'il était plus imposant, plus musclé, le mastodonte jouerait franc jeu, sans tricher. Combattre pour protéger les siens et obtenir la fierté des autres, c'était quelque chose de surprenant autant pour un simple membre qu'un dominant en soi.
_ Je me nomme Seth. Vous devez sûrement vous douter pourquoi je vous ai appelé. Je désire vous défier en combat pour l'obtention des terres du Midi. répondit-il, avec politesse et sincérité, même que l'on pouvait ressentir de la douceur dans son timbre de voix.

L’air était porté par la rosée du matin ; léger. Et pourtant, l’esprit d’Almageste fulminait à mesure qu’il suivait les pas de Robin qui le devançait largement. A priori, l’étalon devait se faire discret, voir comment les choses devaient tourner et si la douce dominante se retrouvait en position de faiblesse, le nouveau dominant aux côtés de Pa n’hésiterait pas à mettre sa vie en danger pour la sauver. Elle dont le coeur était si pur, elle qui représentait l’incarnation parfaite d’une dominance paisible. En ce jour, Almageste restait loin derrière elle, ses oreilles pointées vers l’avant, à l’écoute mais caché. Comme un as que l’on jour à la dernière main. Robin ne perdrait pas le Midi. Le Midi ne perdrait pas Robin.  

OROSZLÀN.
À leur première rencontre, il l'avait trouvée si douce, maligne et pure. Dotée d'une grande intelligence, il avait été certain qu'elle la mettrait en oeuvre pour offrir au Midi une dominance juste et loyale. Il n'avait jamais doutée d'elle. Et il lui avait même promis d'être là pour elle si elle avait besoin de quelque chose.
Robin n'a jamais appelé le dominant Septentrional, mais aujourd'hui, il a su que quelque chose ne tournait pas rond. L'ibérique Nordique erre sur les terres méridionales de sa démarche silencieuse mais lourde. Ses crins argentés battent son encolure puissante où le soleil fait briller sur sa peau quelques reflets dorés. Il aperçoit de loin la vague de pierre. Et deux silhouettes. Celle de Robin, douce et gracile.
Celle, plus imposante, de Seth, qu'il reconnait pour l'avoir rencontré il n'y a pas si longtemps au Nord. Les muscles du Lion se tendent immédiatement. Il sent que quelque chose ne va pas. Pourtant, il décide de rester à l'écart, mais n'hésitera pas à intervenir si les choses tournent mal. Dans l'air, il sent aussi une odeur qui lui est à moitié familière et comprend rapidement que le fils d'Aslaug n'est pas loin. Il sourit. Le Nord et le Couchant sont déjà là, prêts à offrir leur soutien – moral et surtout physique s'il le faut – à la dominante du Midi.

Pa

On ne le sait pas forcément, mais tout un réseau s'installe dans le temps. Une gigantesque toile se tisse, au profit de certaines personnes. C'est ce que l'on nomme une alliance. Et apparemment, quelqu'un défiait l'une des personne de cette fameuse alliance. Et il était bien évidemment normal, que cette personne ne soit pas du tout au courant de tout ce qu'il se trame.
Cependant, la jolie Colombe avait été devancée. Elle ne savait pas que ça tomberait aujourd'hui. Alors, quand elle entendit un hennissement rauque qui sonne la cloche du défi, Pa s'immobilisa. Elle n'était qu'à quelques mètres d'un face à face épuisant. Elle n'avait pas repéré Alma et Oros, mais voyait Seth de dos, et Robin de face. Elle alla se planquer doucement dans les fourrés, hallucinée.
Mais Pa, pour une fois, se dit qu'elle était là au bon moment, au bon endroit.

Le vent se leva et avec lui emporta différentes odeurs connues ainsi qu'inconnues, les feuilles dans les arbres se déplaçaient au gré du vent, aussi farouche les unes que les autres. Il ne les voyait pas tous, certains demeuraient cachés à des endroits et d'autres étaient là, visible. Le soleil était là-haut, puissant et chaleureux, mais sa chaleur était inquiétante comme si elle désirait mettre en garde le noir qui venait défier la dominante du Midi. La nature était même de son côté à lui, car Seth n'a jamais été un imbécile, toujours le mâle prenait une minute et réfléchissait à ce qu'il était en train de faire. Cependant, le mastodonte n'avait pas prit le temps de penser et avait décidé ainsi, maintenant le doute sommeillait en son sein. Mais, ce qui le dérangea soudainement ce fut une seule et unique odeur, celle de Pa qui trainait ici, dans les environs sans pour autant la remarquer. Là, quelque chose en lui commençait déjà à se tordre et il ne savait pas ce qu'il l'attendait avec tant d'odeurs, c'était quasiment incroyable. Impressionnant. Surprenant.

Seth était intelligent et tout ce beau monde était probablement du côté à la dominante, Robin, c'était inévitable, un fait. Le mastodonte se mit alors à hésiter légèrement, se remettre en question et soudain, l'image de Septenrê se dessina dans son esprit. Ses yeux se baissèrent et il ronfla bruyamment des naseaux. Pourquoi était-il venu ici défier une jument qui apportait déjà la sécurité et la paix sur ces terres? L'ennemi, ce n'était décidément pas elle. L'atmosphère était devenue très inconfortable, l'ambiance n'était pas nécessairement agréable et à cet instant, l'étalon se mit à penser à Overnight. C'était mystérieux comment pouvait être la vie, en général, car dès l'instant où il eut une pensée pour sa fleur de lys et bien, celle-ci apparut comme un ange descendant du ciel. Ses yeux s'arrondirent, la surprise qu'il avait en la voyant apparaître ainsi aussi sûre et déterminée. Une boule se forma dans sa gorge et au moment où son regard croisa celui de sa bien aimée, il venait de comprendre sa terrible erreur, l'alarme interminable qu'il avait enclenché pour simplement un cadeau.

Parfois, l'amour peut nous faire faire l'impossible et quand la palomino vint à ses côtés, le silence qu'elle lui fit part le réveilla enfin. C'était une pure folie, tout ça. Alors, que tout cela avait été fait dans l'objectif d'offrir les terres de leur union à Over et d'en être les propriétaires. Seth voyait bien que c'était son erreur et prenant assurance, le noir releva les yeux, la tête pour les plonger dans ceux de la dominante. Le vétéran se mit à examiner minutieusement Robin, elle incarnait la pureté et elle ne semblait remplis d'aucune malice, si douce. Le défi ne tiendrait point longtemps, car la dominante affirma quelque chose qui fit sourire le grand gaillard qu'il était et voyant qu'elle n'avait pas mentionné le territoire du Levant, cela le rassura. L'étalon inspira doucement et tourna brièvement la tête vers sa douce, déposant un baiser sur son frond en remerciement pour sa présence à ses côtés. Il en avait eu besoin pour se réveiller et comprendre son erreur avant d'aller trop loin, détruisant tout ce qui avait été soigneusement construit. D'un pas à deux vers l'avant, l'étalon s'inclina aussitôt, la tête contre ses antérieurs et parut bien respectueux, solennel. Le frison avait été bien élevé, après tout, il était et pour toujours, le fils de l'angélique Chizuru.

Il y avait beaucoup d'odeurs encore et ce combat était autrement perdu d'avance, ça ne servait aucunement d'aller plus loin. Alors, marchant très doucement jusqu'à la dominante à la robe grise, l'apollon s'arrêta près de la jument et garda son sérieux, c'était primordial.
_ C'est mon erreur, dominante des terres du Midi. Je regrette ce manque de jugeote de ma part. Il n'y a aucun mot pour exprimer entièrement mon désarroi et ma honte face à cette situation que j'aurais bien pu éviter. Vous apportez déjà la sécurité, l'amour et la paix, ce que je m'apprêtais à faire est totalement désapprouvé. commença-t-il, d'une voix sans tremblement, mais on pouvait aperçevoir sa mine désolée et pleine de tristesse.

Le mastodonte n'avait jamais voulu cela, depuis tout jeune, il s'était promis de protéger ceux qu'il aimait et Pa en faisait même partit, c'était sa protégée, elle continuerait de l'être même si elle ne voulait rien savoir. L'étalon noir sourit doucement et leva les yeux vers le ciel, se trouvant ignoble. Obtenir les terres de leur amour à lui et Overnight était complètement égoïste, propre à des êtres stupides. Seth plaça un genou au sol et baissa la tête contre antérieur, il n'avait aucune honte à ses yeux de se mettre à genou face à un ou une dominante. C'était tout simplement normal, car même s'il n'en disait rien, le vétéran désirait intensément dans son coeur de partager un jour sa place de dominant auprès de sa vénus. Mais, même s'il avait encore du chemin à faire et que ce ne serait probablement pas évident, le frison se releva avec un sourire éblouissant.
_ Mon erreur est impardonnable. À vous de juger si vous me pardonnerai un jour. Mais, je refuse de combattre auprès d'une jument qui gère déjà très bien son territoire et qui a la confiance de ses membres. J'ai encore beaucoup à apprendre, mais je considère que la protection des uns et des autres est importante. Le territoire du Levant est mon ultime ennemi, vous devez savoir que la dominante de ces lieux veut la destruction et n'a aucun respect pour qui que se soit. J'ai été égoïste de croire que je pourrais offrir ces terres à ma conjointe en cadeau et subvenir à ses besoins en tant qu'étalon. Juste parce que vos terres sont celles où nous nous sommes avoués enfiin notre amour et où l'on a passé les plus beaux moments. Maintenant, grâce à vous tous et à ma fleur, j'ai appris encore quelque chose dans la vie, je ne regrette pas ce qui s'est passé aujourd'hui, mais j'apprendrai de mes erreurs, à l'avenir. Ce n'était pas à vous de recevoir ma demande de défi. Pardonnez-moi! raconta-t-il, en s'inclinant et en se redressant, retournant auprès de sa bien aimée.

Alors que le vétéran se rendit auprès de sa douce, son regard croisa celui de Pa et d'un geste de tête, il la salua tout simplement. La discussion se terminait dès maintenant et étrangement, il n'avait plus honte, peut-être parce qu'il s'était exprimé avec son coeur. Le noiraud vint coller sa tête contre celle de sa femelle et ferma les yeux avant de reprendre le pas, déterminé à continuer malgré les erreurs. Un instant, il se retourna vers la grise, la dominante et hocha la tête avec un air sérieux.
_ Je ne suis pas un salaud, alors sur ce, recevez mes salutations et mes excuses, une nouvelle fois, dominante de ces terres, Robin. Si nous nous recroisons, soyez certaine que vous aurez dans votre équipe une nouvelle personne à vos côtés et je veillerai à honorer mes paroles. dit-il, avec assurance et sincérité.

À cet instant, le vent se leva une nouvelle fois et l'étalon inspira tout doucement, c'était tout de même stressant ce qu'ils vivaient tous ici. Il fallait beaucoup de coeur et de pureté pour parler ainsi, avec sérieux. Seth était fier de lui, car même si il recevait les foudres de Robin ou qu'il recevait la bénédiction, le mâle était en paix avec lui-même, ce qu'il avait accomplit était grandiose. Ce n'était pas tout le monde qui aurait agit avec humilité et de façon à s'abaisser sans pour autant s'écraser pour quelqu'un d'autres. Son rêve était de devenir un jour dominant, de protéger les uns et les autres, puis cette rencontre avec cette grise avait réveillé en lui ce feu vital. Elle lui avait montré l'importance d'une alliance, d'une association et là, il se sentait grandir en sagesse encore plus qu'avant. Ses yeux se tournèrent vers sa demoiselle, tendre.
_ Merci d'être venue, sans toi, je sais pas ce que j'aurai pu faire et j'avais perdu mes objectifs de vue qui était protéger ceux qui avait besoin de moi. Robin n'est pas comme Septenrê, c'était une cruelle erreur. Cependant, je sais ce qu'il me reste à faire et je ne ferai pas deux fois la même erreur. souffla-t-il, tout bas à sa conjointe tout en poursuivant lentement son chemin.

Ce pavé

De loin, le Lion n'entend pas ce que prononce Robin. Mais il sent immédiatement ses muscles se tendre en voyant le grand noir s'avancer vers la grise, qui semble encore plus frêle qu'à l'accoutumée. Son instinct de protection revient au galop et c'est à ce moment-là qu'il décide de se dévoiler, pensant ainsi apporter un facteur physique à la dominante. De sa démarche féline et lente, il s'avance, avec cette prestance calme qu'on lui reconnaîtra. Il plisse les yeux, ne voulant pas paraître agressif en se hâtant, et se rassure en se disant que Seth ne semble pas vouloir l'attaquer. Alors qu'il s'approche, il commence à capter les paroles qui s'échangent, que Seth débite comme dans un monologue, comme s'il était l'unique acteur de la scène qu'il a provoqué. Mais sûrement a-t-il été surpris de voir tant de personnages clandestins venus perturber sa comédie. Parce que tout ça n'est que comédie, n'est-ce pas ? Pas même drôle, en vérité, et même s'il ne s'était s'agit que d'une plaisanterie, Oroszlàn n'aurait pas hésité à se battre pour défendre Robin. Son regard noir et brillant croise brièvement celui du frison, mais il ne lui adresse pas même un sourire, juste une expression neutre et déçue. Un regard sombre, qui lui intime peut-être en silence qu'il vaut mieux pour lui qu'il se rétracte, comme il semble être en train de le faire. Le Nordique reste silencieux, et lorsque le frison vient à parler de sa mère, il efface un frison, partagé. Partagé entre sa loyauté à la paix, à son territoire, à son union envers les autres dominants... et puis le lien qui le relie à Septenrê. Même s'il ne cautionnera jamais ses faits, elle reste sa mère. Son seul parent encore en vie. Il ne dit rien de tout cela, beaucoup ignorent qu'il est son fils et plus le temps passe, plus le Lion pense que c'est le mieux en réalité. Il observe Seth s'éloigner, sans avoir encore rien dit, et muré dans un silence plein de respect et de soutien, il se tourne vers la dominante. Enfin, il esquisse un fin sourire. « Je t'avais dit que tu ne serais jamais seule. » Il observe les alentours, s'attendant à découvrir les autres acteurs tapis qu'il devine. Il n'aurait jamais cru que l'union était possible à ce point. Viendrait-on pour moi aussi, s'il m'arrivait quelque chose ? Son esprit grince. Tu n'es rien, gamin, que le bâtard de deux fous.

Le vent se tait à mesure que l'épais étalon s'avance vers Robin ; les muscles d'Almageste se tendent et il esquisse un bond en avant, les naseaux pincés, les oreilles plaquées contre sa nue. L'impulsivité dont il fait preuve le déstabilise un peu et le surprend. Serait-ce ainsi ça l'honneur ? Venir risquer sa peau pour une cause que l'on trouve noble ? Ou était-ce simplement le coeur de l'étalon bicolore qui s'amusait à le contrôler ?
Le dominant s'immobilise à nouveau, il veut entendre ce que le grand noir a à dire. C'est sans surprise qu'il décide de battre en retraite, se confondant en excuse. Almageste lâche un grognement vigoureux et fouette l'air de sa queue, mécontent. Est-ce ainsi que l'on agit ? Sur le coup de l'émotion ? Comme un adolescent qui ne sait prendre de décision ? Le mastodonte a beau être gigantesque et pouvoir se défendre contre quiconque, il apparaît aux yeux d'Alma comme un être incapable de gouverner, aussi le pie se promet de se méfier de cet individu aux idées changeantes. Galop Sauvage avait pu retrouver un peu de sérénité depuis leur migration, et il revenait aux dominants en place de la faire perdurer. Ainsi le mâle s'approche un peu plus de Robin, juste pour lui faire comprendre qu'il était là, comme il l'avait promis.

Elle choisissait l'instant pour parler. Mais de quoi, ma veille? En plus t'es bien entourée là, t'en profites, alors dis pas de la merde. Putain, elle avait raison la Raison. Mais Pa sentait qu'il fallait qu'elle parle. Elle était venue s'immiscer doucement, un peu à l'écart, mais plutôt du côté de Robin. Il y avait un palomino aux côtés de Seth. Tiens, elle est chez nous celle là. Elle s'est amochée, non? Elle riait intérieurement, parce que cette petite voix qui parlait disait tout ce qu'elle ne pouvait pas s'avouer à elle même. Elle se déplaça de quelques pas encore, et se trouva stabilisée - enfin! - du côté d'Alma. Le nouveau gérant du Couchant, le patron bis. Tu te présentes ici, loyalement et d'une manière calme certes, pour arracher la Couronne fraîche de Robin. Puis en quelques minutes, tu brûles tout seul tes lauriers que tu t'es imaginé porter pour dominer. A croire que c'était la maigrichonne qui le contrôlait, c'était d'un pathétique! Etait-il donc si influençable que cela? Un homme n'allait donc pas au bout de ses promesses? Son visage se durcissait sous le coup de la réflexion, et elle porta de justes mots. Alors, qu'elle est la raison de ce désistement? C'est ta compagne, notre force, ou bien le vent? Elle était furieuse. Il venait de renouer, et déjà, il plantait l'épée. Dans le dos, dans le dos de Pa, mais dans la gueule de Robin aussi, qui était douce comme un mouton pimpant, nouvelle et fraîche. Une jument qu'on aurait cru sans défenses, mais apparemment, non.