Oroïne - Neha - Deasùn || Biographie.

Quittant ses parents alors qu’il vivait bien loin au Nord, pas même sur les terres de Luanera, Oroïne arrive ici de la meilleure des manières. Oui, d’abord en ce coinçant le derrière dans des ronce dans la jungle, rencontrant alors, Saturne, qui lui semble être un personnage adorable, mais rapidement délivré de sa peine, il fait plus ample connaissance avec lui. Dans la foulée, le gris se promène sur les terres Égyptiennes, attiré par les pyramides qui pointent le bout de son nez. Là-bas, il y rencontre Irisviel, avec qui il va lier une puissante amitié, qui sera consolidé par des péripéties dans cette même pyramide, momie, pièges mortels et labyrinthe seront un fort vecteur d’amitié. Et la pureté de la bicolore le touche énormément, il en ressortira avec une amie à qui il tient énormément, et commence même à songer à rejoindre un troupeau, les Nilaak, l’idée germe dans sa tête à ce moment-là.

Dans les rencontres marquantes pour le mâle, on compte également Etosha, dont la rencontre ne semblait pas avoir commencé pour le mieux, lui tirait la bourre à des loups, tandis qu’elle épiait plus loin avant de faire dégringoler des cailloux, s’en suit une course poursuite avec les animaux et une rencontre étonnante, parlant à nouveau de troupeau et d’appartenance.

Mais, dans son cœur, la rencontre qui le marquera, et qui laissera des stigmates pour un bon moment, c’est sûrement Séléné, à la recherche de calme, il tombe sur la petite jument. Sans savoir pourquoi, elle le fascine, sûrement par la magie qui émane d’elle, ou simplement parce qu’elle partage sa candeur. Rapidement, le cœur du jeunot s’entiche, une étreinte, un baiser, une nouvelle étreinte, une pierre donnée, l’étalon semble sous le charme. Cruelle vie, quand on sait qu’elle décédera quelque temps après, sans qu’ils aient pu se revoir, laissant une pouliche derrière elle, Pandia.

Mais, Oroïne découvre rapidement que sa candeur n’est pas du gout de tout le monde. D’abord en tombant sur Faucon, qui le secoue un peu, lui ouvre les yeux, sûrement. Sûrement pour le meilleur, pas forcément d’une manière douce, mais le mâle lui en sera sûrement éternellement reconnaissant. Oroïne découvre que non, il ne peut pas vivre dans sa teintée de blanc. Qu’elle est nuancée et que personne n’est toujours gentil.

Sa rencontre avec Winterfell ne fait qu’appuyer ses propos et l’entraînement au combat lui ouvre des nouvelles portes qu’il n’avait jamais encore envisagé. Se battre pour se protéger et protéger ses proches n’était pas mal. Simplement une question de survie. Mais il vit là son premier et dernier entraînement avec le gris, sans savoir qu’il ne le reverrait jamais. To be continued.