Ouraï marchait doucement, soudainement apaisé par le bruit de l'eau au loin. Il y avait ici et là, quelques pyramides. Le cœur de notre cher étalon : Ouraï cogna très fort contre sa cage thoracique, son désert, son bonheur... Il trottina vers ses immenses structures, reniflant une odeur féminine.