Et Antonio, au contraire, se cherche un abri, désespérément, car la pluie, et toute forme de l'eau lui est détestable. Il avance de ses pas boiteux, les pieds trempés par la boue, et les crins lissés par la pluie. S'il n'avait pas eu ce foutu de pied claudiquant, cassant le rythme de ses pas, il serait certenaiment plus rapide pour trouver un abri et ne serait pas trempé de la tête à la queu.