freedom exists (défi)

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'Combat' :

tu veux bien attendre un peu océane avant de poster ? histoire de laisser les autres participer aussi ?

Bah je sais pas on avait dit on laissait deux personnes répondre c’est pour faire avancer le RP à été créé depuis juillet donc c’est pour le clôturer vite, mais si ça Gêne bah vous pouvez supprimer ma réponse je re posterai plus tard

on avait surtout dit minimum 3 anar entre chaque royaliste nan jvais pas faire ma bâtarde au point de suppr ton attaque réussie

je suis au taquet en plus, hier je suis venue voir mais c'était pas encore à moi de rép
ça ressemble à rien bon ça me saoule ce combat illogique (juillet omg) je fais de l'arrache de merde  


Red souffre à cause de Hooker mais il ne lâche pas l'affaire, et rétorque par un coup de boule de bâtard dès qu'il en a l'occasion

ROYALISTES : 11
ANARCHISTES : 10

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'Combat (guerriers)' :

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'Combat' :

VICTOIRE DES ANARCHISTES !!!! :cri:

(ça fait 2x de suite que Red utilise le dé guerrier... )

ouais mais y a une fois où il n'a pas attaqué alors que tous mes autres persos l'ont fait ...

(dans tous les cas on va dire que ça compense le fait que céci ait joué les 2x toute à l'heure ! mais juste akan peut pas être un peu plus violent ? mdr, pcq c'est censé être l'attaque qui affaiblit vrmt vu qu'ils sont pas prêt d'abandonner si ils peuvent encore combattre parce que là akan a pluss la force de lui faire mal.. enfin jsp vous en pensez quoi ?)

ouais t'as raison, jchange

(oups désolée du pavé je me suis enflammée )

Elle ne voit que lui. Elle n'a conscience que de son infâme existence, sa maudite présence. Si il n'avait pas été là, si le GS d'aujourd'hui n'avait pas été dupe, rien de tout ça ne serait arrivé. La vie aurait continué à être tel qu'elle a toujours été. Simple. Juste. Tracée. Et à cause de capricieux dans son genre, tout ce qui a été construit durant les précédentes années va être amené à disparaître. Du moins c'est ce qu'il doit espérer au fond de sa petite cervelle. A quoi pense t-il maintenant ? Maintenant qu'il gît sur le sol et qu'il voit la mort approcher ? Regrette t-il ? Certainement pas. Un idiot reste un idiot, même au bord du gouffre il sauterait. Elle en est persuadée. Elle se questionne sur la manière dont elle va l'achever. La torture peut-être ? Il ne mérite pas qu'on réfléchisse autant pour lui, qu'on perde davantage de temps. Il ne mérite rien d'autre que l'agonie. Et désormais, le voilà condamné.

Elle rugit lorsqu'une douleur brutale coupe court à ses pensées. Sa nuque est littéralement bloquée, saisie par un assaillant. Elle tourne de l’œil et découvre une robe pie. Enfoiré de roi raté. " Soumets toi. Ne fais pas couler plus de sang " Amusant. Vraiment très déplacées comme paroles lorsqu'on vient pour foutre la merde. Ils sont tous plus stupides les uns que les autres. Voilà pourquoi ils emploient la manière forte pour détruire ce qu'ont construit les plus malins. Misérables crétins.

Tout son corps se raidit. L'ébène se sent affreusement frustrée de ne pouvoir donner le coup de grâce là, maintenant. Comme c'était prévu. Elle garde un instant les yeux rivés sur l'akhal, se murmurant que c'est loin d'être finit, que si elle ne l'achève pas dans les secondes qui suivront, elle le fera dans les minutes. Ou les heures, peu importe tant qu'il crève. Son regard dérive jusqu'au sol. Bouger, c'est mettre en péril tout son corps, sa vie même. Il suffit d'un faux mouvement pour que la mâchoire du mâle se referme sur le mauvais os ou le mauvais ligament. Elle est piégée. Et lui, ce lâche, qui profite de son inadvertance. Minable jusqu'au bout. Ils le sont tous ici.

Quelque chose craque. Dans le silence qui obstrue sa réflexion, elle perçoit une nouvelle attaque. La dernière image qu'elle a de son fils, c'est un corps déchiré, une face décapitée, une véritable fontaine du sang de ses adversaires et du siens. Alors elle tourne lentement la tête. (là je sais pas si c'est du power gaming mais je suis obligée de décrire la scène si elle doit réagir donc si il y a des détails pour lesquels tu n'es pas d'accord céci, fait le moi savoir!) C'est à peine si son fils parvient encore à tenir debout. L'akhal s'est relevé pour frapper son articulation, quant à ce connard de Redjim, il continue le projet de défiguration.

Une rage intense, incapable d'être exprimée tant elle ne connait pas d'égal, remplace celle qui habitait déjà l'ibérique, qui en comparaison, semble extrêmement modérée. Un voile écarlate prend possession de sa vision. Et c'est de cette couleur qu'elle voit ce qui l'entoure. Rouge. Terriblement sanglant. Si ils ne sèment pas le chaos, elle s'en occupera.

Lâche-moi. Ordonne t-elle à l'ex-roi, la voix grave et le regard toujours fixé sur son fils. Elle ne le répétera pas. Elle ne bouge pas, restant totalement imperturbable. Et face à cette carrure colossale qui reste immobile, on parvient à ressentir cette atmosphère sinistre, ces ondes de colère qui vibrent autour du typhon qui l'habite. Comme si le moindre mot ou le moindre geste l'extirperait des entrailles de la Reine, prêt à tout dévorer. Sans attendre davantage, elle se décroche de l'emprise d'un vilain coup de tête, comme si elle ne risquait plus rien. Parce que désormais, rien ne l'importait davantage que la santé de son fils. Elle le rejoint. Majestueuse. Impétueuse. Gracieuse. Passant sa tête sous l'encolure de l'étalon, elle l'aide à se relever. Elle le laisse s'appuyer sur son corps de jais qui se noie sous le sang et la sueur de la carcasse du jeune Roi.

Elle se dirige droit vers les anarchistes, qui ne forment désormais plus qu'un. On ne lit en son attitude que sagesse et royauté, mais dans ses abysses règne un océan de rage. Elle s'arrête, à quelques mètres d'eux. Ils sont tous plus ou moins amochés, mais le grand gagnant reste Hooker. Brusquement le silence s'interrompt. Elle peste et crache aux pieds du meneur du groupe. J'espère que vous n'avez ni amis, ni famille, ni projets. Et que vous n'en aurez jamais. Car vous venez de mettre un terme à leur existence. Sa voix est rauque, fluide est d'une extrême neutralité. Et pourtant à l'oreille elle sonne comme une craie sur un tableau. Tranchante. Elle se détourne, n'adresse de regard à personne et s'éloigne jusqu'à disparaître.

Et n'oubliez pas, si ils ne sèment pas le chaos, elle s'en occupera.

Flanquée d'un manque d'expérience affligeant au combat, R n'écoutait que son instinct. Mais les faits s'imposaient à elle au même titre que ce coup de boule bien placé : si elle avait été là depuis le début, elle n'aurait certainement pas fait le poids. Et même si elle avait écopé de quelques bleus pour cette fois, elle savait qu'il en aurait été autrement si elle avait été présente plus longtemps. Qui sait, peut-être les astres ne lui souhaitaient pas la mort pour l'instant. Peut-être souhaitaient-ils seulement la préserver encore un peu, jeunesse d'ivoire, cœur de sang. Le monde s'arrêta de tourner suite au choc, ou peut-être se mit-il justement à tourner un peu trop vite. En termes de poids, l'étalon la surpassait largement, et avec l'élan, elle manqua in extremis de tomber et certainement de se faire piétiner par la mêlée. Elle avait l'impression que sa tête s'était déboîtée, une sensation étrange et désagréable. Elle avait un goût de sang dans la bouche : le sien. Elle cracha, certainement en direction en de son assaillant, une petite gerbe de ce liquide vital, dont le mâle était de toute façon déjà souillé. Quand elle revint complètement à ses esprits, une grande jument noire s'adressait aux anarchistes, et elle en entendit assez pour comprendre l'enjeu de la chose : des ennemis jurés. Alors qu'elle ne les connaissait pas, n'ayant pas en tête la moitié de leur nom. La sorraïa se doutait seulement qu'il s'agissait d'Isildure, matriarche des Sables en titre. Et elle venait d'assister au détrônement de ce qui semblait être son fils, Hooker. Si il n'était pas tant souillé par le sang, elle l'aurait reconnu pour tout ce qu'elle avait entendu sur la dominance des Sables. Elle ne prenait pas à la légère les menaces de la noiraude, parce que les menaces d'une entité qui allait désormais rôder dans les ombres devenait bien plus crédible qu'une personnalité sous la lumière des projecteurs.

Un calme électrique semblait s'être installé. Ils avaient gagné. A la fois fière et accablée, elle posa son regard sur Akan, s'approchant sans montrer leur proximité. Stratégique, lucide malgré tout, elle savait que montrer pour l'un comme pour l'autre leur lien risquait de donner beaucoup d'opportunités à l'ennemi afin de, peut-être, atteindre l'anarchiste. Elle, elle n'était qu'une ombre parmi les ombres. Quand la noiraude et son fils s'éclipse, R observe autour d'elle. Le sol était rougis, et quelques cadavres jonchaient le sol, victimes de leur bataille d'opinions. Est-ce qu'il y aura des morts ? s'entendit-elle dire, telle la pouliche qu'elle était, à un grand akhal doré, il y a longtemps maintenant. Perdue dans un brouillard de pensées, elle balaya de nouveau les environs du regard, observant les blessures, avant de s'arrêter sur l'akhal. Leur regard se croisèrent sûrement, et R effleura d'un souffla les flancs de l'étalon.