dernière impression

(bon il reste 3 pts à bobo on peut stopper le combat
BRYBRY WIN BOBO LOOSE)

Même si son coup irréfléchi porte ses fruits, Allie se retrouve malheureusement coincée par et contre Bryséis. La colosse l’enserre de son encolure, l’écrase et la maintient à la fois. Boréale se retrouve comme prise au piège, incapable du moindre mouvement. Et cette sensation elle la hait, la déteste profondément. LACHE MOI ! PUTAIN LACHE BRYSÉIS ! hurle t-elle en tentant de ruer sans y parvenir.

Boréale fulmine, prisonnière, incapable de quoi que ce soit. Elle la déteste de lui faire subir, encore plus que tout les coups échangés. Lorsqu'enfin elle la lâche, Allie la bouscule d'un coup d'épaule avant de faire les cents pas devant elle, tel un animal resté trop longtemps en cage. Sa mâchoire est serrée au point de lui faire mal. Lorsque Bryséis ouvre la bouche, les mots qui en sortent lui font saigner les oreilles. Elle n'a plus la force de se battre, alors elle se rabat sur une motte de terre et d'herbe dans laquelle elle shoote en plein visage de sa cousine. Ta gueule Bryséis ! vocifère t-elle, incapable d'entendre qu'elle puisse ressembler à Azsio en quoi que ce soit. T'es contente ? Tu m'as battu, maintenant casse toi ! siffle t-elle entre ses dents serrées. Elle bout de rage, et lorsque tout ça sera retombé, elle sait pertinemment que son corps lui fera regretter un tel corps à corps. Mais au fond d'elle même, sans qu'elle ne l'avoue jamais, c'était le meilleur combat qu'il lui ait été donné de mener jusqu'ici.

Allie laisse un cri rageur lui échapper, plus pour toutes ces allusions de ressemblance que pour sa défaite. Et aussi parce que son projectile l'a loupé
La nayati la foudroie du regard lorsqu'elle parle de l'Arbre aux Âmes, endroit qu'elle connait très bien pour avoir passer son enfance au lagon. J'AI PAS ENVIE DE LA VOIR ! hurle t-elle à la noiraude qui s'en va enfin, sachant pertinemment qu'elle parlait de sa mère. Hors de question, elle était trop en colère pour le moment. Furieuse, elle se détourne à son tour et s'en va en direction de la roche, l'allure déjà clopinante.

OUT