Même s'il avait mal au paturon et a l'oeil, même s'il détestait ce machin qui lui entourait la tête, Huracán n'était pas bête. Il savait parfaitement que les humains voulaient qu'il les suive. Soufflant fortement, il fit un pas en avant, puis deux, cédant a la pression que le licol exerçait sur son visage, avançant finalement dans la même direction que les hommes.