until the night turns.. [terminé]

L'étau se ressera et la douleur se fit vive et intense l'espace d'une seconde m'arrachant un hennissement douloureux et indigné. Je voulus tuer mais c'est que c'était un sacré morceau cette bestiole là. La douleur passait et le rythme lent et serein du mâle eut raison de mes appréhensions je finis par me laisser faire voir à carrément le pousser dans ses retranchements par des coups de fesses bien placés.

Je fermai les yeux et me laisser aller sivant le rythme créchendo de l'étalon noir, sentant mon corps bouillonnait jusqu'à l'ébullition de mon orgasme comme un volcan au bord de l'éruption.

Le souffle court je viens me coller contre lui pour y chercher un peu de soutient, mes jambes semblaient comme du coton. Je ne savais pas trop quoi penser de tout ça tiraillement entre plaisir et mal être. Je déglutis avant de me cacher dans sa crinière.

Je pouffai soudain de rire. MOUAHAH parce que tu crois sincèrement que t'es réussi à m'engrosser? Tu rêves! Lachai-je à la limite de l'insolence... Non en faite pas à la limite. Je me décollai de lui retrouvant mon image de poupée que rien n'atteint complètement déconnectée de la réalité. Une barrière qui me permettait de prendre du recul sur les situations critiques comme celle-ci. Je lui jetai un dernier regard. Bye bye beau brun! Lui lançais-je dans un dernier sourire avant de reprendre ma route

Tu me dis quand tu veux commencer à faire la naissance je ne sais pas où en sont les autres... tu veux peut-être un sujet avec brie engrossé avant?

Je revenais sur mes pas quelques mois après. Mon ventre arrondit me meurtrissait les hanches et les lombaires. Je poussai un soupir contrarié en me positionnant sur une petite butée, surplombant le lieu du drame d'un œil critique. C*nnard! Il avait réussi son coup et moi je me trainais maintenant comme une vache partout et je tirais ma carcasse...

L'odeur de Spart' arriva à mes naseaux. Malgré la colère une douce chaleur m'envahit à l'idée de le revoir et de le savoir toujours de ce monde. Mes oreilles s'aplatirent tout de même sur ma nuque et je fusillai l'horizon du regard avant de croiser son regard d'un bleu glaçant et électrifiant.

Alors c'est quoi le plan maintenant? Souffali-je en direction de la frome qui se mouvait vers moi. La nuit était encore bien présente mais les rayons du soleil commençaient à percer la fine couche d'horizon au loin éclairant d'une étrange pâleur les lieux.